Réactions de personnalités catholiques et souverainistes aux attentats qui endeuillent la France

samedi 14 novembre 2015
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Réactions de personnalités catholiques et de politiques aux attentats qui endeuillent la France


Mgr Ravel, évêque aux armées

« Pour l’évêque aux armées, les attentats de Paris dévoilent au grand jour cette nouvelle guerre déclarée à la France qui ne touche plus des militaires loin de la capitale mais des civils innocents.

Comment réagissez-vous à l’instauration de l’état d’urgence ?

Si le chef de l’Etat a déclaré l’état d’urgence, ce n’est pas pour faire joli ! Les services de renseignement craignent en effet des répliques à l’image des tremblements de terre. Le danger est que les attentats soient coordonnés dans l’espace mais aussi dans le temps. Aujourd’hui même, et dans les jours qui viennent, nous pouvons craindre beaucoup de choses. Se rassembler dehors pour prier ne serait pas forcément une idée très intelligente. Il faut rester très prudent.

Qu’est-ce que les attentats de Paris vont changer aux yeux de l’opinion publique ?
Nous prenons brutalement la mesure du problème. Par un effet d’éloignement, les grandes choses paraissent petites. Jusqu’à présent en effet, le français moyen voyait les attentats à Kaboul ou à Lagos depuis la France. Cela semblait très petit. Nous, les militaires, nous avons constaté sur place – et depuis longtemps – les dégâts. Nous avons compris qu’il ne s’agissait pas de simples faits divers !

Est-ce la suite logique des attentats de Charlie Hebdo ?

A l’époque, on avait tendance à penser que les terroristes s’attaquaient à un journal satirique et aux « blasphémateurs ». Moi, je n’ai jamais cru à cette fable ni à cette instrumentalisation des événements. Je le répète : nous sommes en guerre et les terroristes ne choisissent pas leurs victimes ! Nous prenons conscience aujourd’hui que la France a toujours été la cible et non la liberté de la presse.
On ne peut plus croire que nous sommes face à des gens isolés ou détraqués

En quoi les militaires sont-ils préparés à cette escalade ?

Nous reconnaissons chez nos ennemis ceux contre lesquels des dizaines de nos soldats sont morts en Afghanistan ou au Mali. Demain peut être en Syrie ou en Irak... Je suis militaire. Je sais que ces attentats contre la France marquent la poursuite d’une guerre qui a commencé il y a quelques années. Combien faudra-t-il de centaines de morts pour ouvrir les yeux ? Nous ne sommes pas face à une question de sécurité mais à une véritable guerre ! On ne peut plus croire que nous sommes face à des gens isolés ou détraqués.

Quelle forme cette nouvelle guerre est-elle en train de prendre ?

La frontière entre civils et militaires a disparu. Quand les militaires sont visés dans leur uniforme, c’est à titre de symbole. Le soldat incarne la France. Mais, en réalité, la guerre est menée contre la France. Nos adversaires ne regardent pas s’ils ont devant eux un militaire, un gamin ou une femme enceinte. Nous ne sommes plus en 14-18 où on comptait les morts dans les tranchées. Cette nouvelle guerre touche n’importe qui, n’importe où, et de manière aveugle. C’est un processus lent et lourd : vous coupez une tête et dix autres surgissent.

La prière est-elle une forme de solidarité en ces heures dramatiques ?

Le chrétien aime la paix mais il sait vivre en état de guerre. Il ne faut pas séparer la prière et l’action. La prière pour la paix ne se substitue pas aux moyens légitimes par exemple au fait de prendre les armes. Dieu ne va pas envoyer ses légions d’anges pour éliminer nos adversaires ! Mais la prière change les cœurs. L’émotion des Français est très grande. Il y a plusieurs sentiments qui se mêlent non seulement la douleur et l’incompréhension mais aussi le désir de vengeance. La grâce de Dieu apaise les cœurs sans minimiser cette nouvelle guerre contre la France qui ne fait que commencer. La prière va purger nos émotions de la violence. Il ne faudrait pas que la violence gagne deux fois : la première avec les victimes corporelles et la seconde avec des victimes spirituelles ».

Famille chrétienne

Les prêtres du Padreblog

Notre pays vient de connaître le pire attentat terroriste de son histoire. Plus de 120 morts, des centaines de blessés graves. Nous sommes tous sous le choc. L’émotion, la peine immense pour les victimes, l’incompréhension devant le mal qui se déchaîne… la colère aussi, se bousculent dans nos coeurs.

Parce que nous croyons en Dieu, parce que nous sommes catholiques, la prière vient se mêler à nos larmes. Nous prions pour tous ces morts, pour que le Seigneur les accueille dans sa Paix. Nous prions pour leurs familles dans une douleur si grande. Nous prions pour les blessés, en espérant qu’ils se rétablissent. Nous prions aussi pour tous ceux qui nous protègent, ici ou au loin : forces de l’ordre, militaires, services secrets… Nous prions enfin pour nos dirigeants, afin qu’ils soient à la hauteur de leur mission dans les semaines et les mois qui viennent. Il est vrai que Jésus nous demande aussi de prier pour nos ennemis, « ceux qui nous persécutent ». C’est dur. Mais faisons-le aussi : Dieu seul est capable de nous garder de la haine aveugle et de nous faire espérer leur conversion.

Prier ne veut pas dire rester passif. Prier ne dispensera pas de réfléchir, ni d’agir.
Ne nous trompons pas : ceux qui ont fait cela ne sont pas des fous. Au contraire, avec férocité, ils font la guerre. Ils sont en guerre contre nous. Contre la France. Contre ce que nous sommes et contre ce que nous croyons. Il faut un jour en prendre conscience. Ce jour semble être venu.

Demain, la réponse – au-delà de la réaction policière, militaire et judiciaire – devra aussi consister à refonder ce que nous sommes. Nous serons forts face à ces barbares – qui ne s’arrêteront pas là – si nous sommes solides dans notre identité, notre culture et nos valeurs. C’est cela qu’ils ont voulu attaquer, c’est cela le vrai rempart qu’il faut leur opposer et le combat qu’il nous faut mener.

Nous sommes français : il va nous falloir retrouver ce que cela veut dire et comment cela peut nous rassembler. C’est bien dans notre histoire, notre culture, notre foi que nous trouverons cette force d’âme dont nous allons avoir besoin dans les temps qui viennent.

Demain, très vite, nous aurons besoin de ces âmes fortes pour reconstruire. Que chacun ait cela à l’esprit, en particulier la génération qui vient. La France a toutes les ressources pour être victorieuse, quand elle est fidèle à ce qu’elle est vraiment, à son identité profonde et à sa vocation, quand elle est grande et généreuse, fière et courageuse. A chacun de nous, selon sa vocation, d’y travailler, sans faiblir et sans tiédeur.

Nous sommes la France.

Que Notre Dame veille sur nous.

Les prêtres du Padreblog

padreblog

Jean-Frédéric Poisson, Député des Yvelines, Président du PCD

« Il y a un temps pour pleurer les victimes, soutenir et accompagner les survivants, rendre hommage aux forces de sécurité et les remercier, et se taire devant l’horreur.
Un temps pour accepter et soutenir la décision de l’état d’urgence et entendre que la France ferme ses frontières.

Nous revivrons une séquence d’union nationale et peut-être les Français redescendront-ils dans la rue pour démontrer qu’ils sont vivants.

Mais cette fois-ci, rien de cela ne suffira. Les Français ne se contenteront pas d’un discours, d’appel à l’union, dont l’une des vertus est d’estomper les responsabilités. L’union nationale demandée au début de cette année n’aura servi à rien.

10 mois après les attentats du mois de janvier, la France n’a toujours pas de politique de contrôle de ses frontières. Elle n’a pas engagé la lutte contre les islamistes de tous bords sur son propre sol. Elle maintient des relations étroites avec des pays qui soutiennent les islamistes. Elle s’est engouffrée tête la première dans une politique non maîtrisée d’accueil des migrants. Elle n’a pas de politique de dé-radicalisation, ni dans les prisons ni ailleurs.

C’est tout cela qui doit maintenant être changé.

Nous demandons solennellement au Président de la République :
L’expulsion systématique des islamistes radicaux ou leur assignation à résidence quand ils sont Français.

La fermeture immédiate des lieux de culte abritant des mouvements islamistes.
La clarification des relations entre la France et les pays qui soutiennent les mouvements islamistes (Arabie Saoudite, Qatar, Turquie).

Un plan massif d’intervention dans les centres urbains afin de détruire les relations entre le banditisme et le terrorisme.

Une réflexion sur le report de la COP 21 : son maintien, dans des conditions de sécurité que nous ne pouvons pas assurer, exposerait la France à de trop grands risques.
Un ensemble d’actions concrètes visent à combattre l’islamisme dans les prisons et dans les associations
Plus que jamais les Français attendent du Chef de l’Etat de la fermeté, et des actes ».
Jean-Frédéric Poisson, Député des Yvelines, Président du PCD

Poisson

Marine Le Pen, présidente du Front national

*Mes chers compatriotes,
Nous vivons l’horreur. Nous vivons une tragédie nationale.

Hier soir la capitale de la France a subi des attaques d’une barbarie inouïe qui montrent une nouvelle escalade dans la violence du terrorisme islamiste. Pour la sixième fois en 2015, il a frappé notre pays.

La France pleure ses morts, et je pleure avec elle. Je pense aussi aux nombreux blessés, certains dans un état critique. Je veux faire part aux familles éprouvées et meurtries de ma plus vive compassion et de ma solidarité. Je salue le dévouement et le professionnalisme de nos forces de l’ordre et de nos services de secours et je veux leur dire ma considération. Ils forcent l’admiration de toute la Nation.

La France et les Français ne sont plus en sécurité, mon devoir est de vous le dire.
Et des mesures d’urgence s’imposent.

- La France doit enfin déterminer quels sont ses alliés et quels sont ses ennemis. Ses ennemis, ce sont ces pays qui entretiennent des relations bienveillantes avec l’islamisme radical.

Ce sont aussi ces pays qui ont une attitude ambigüe avec les entreprises terroristes. Tous ceux qui les combattent sont des alliés de la France et doivent être traités comme tels.

- Le président de la République a annoncé l’état d’urgence et le contrôle temporaire aux frontières. C’est bien.

Mais, quoi qu’en dise l’Union Européenne, il est indispensable que la France retrouve la maîtrise de ses frontières nationales, définitivement. Sans frontières il n’y a ni protection ni sécurité possible.

- La France a été rendue vulnérable.

Elle doit se réarmer car depuis trop longtemps elle subit un effondrement programmé de ses capacités de protection et de défense, face à des menaces pourtant prévisibles et croissantes.

Elle doit rétablir ses moyens militaires, de police, de gendarmerie, de renseignement et de douane.

L’État doit pouvoir à nouveau assurer sa mission essentielle de protection des Français.

- Enfin, le fondamentalisme islamiste doit être anéanti. La France doit interdire les organisations islamistes, fermer les mosquées radicales et expulser les étrangers qui prêchent la haine sur notre sol, ainsi que les clandestins qui n’ont rien à y faire.
Quant aux binationaux participant de ces mouvances islamistes, ils doivent être déchus de leur nationalité et interdits de territoire.

Mes chers compatriotes, nous sommes un peuple courageux. La Nation doit être unie dans cette épreuve.

Au delà des mots c’est l’action forte et implacable qui protègera les Français et pérennisera cette unité.

Vive la République !
Vive la France ! »

le salon beige

Philippe de Villiers

 ; "Une pensée douloureuse pour les familles endeuillées et un encouragement à nos forces de sécurité admirables. Immense drame à Paris, Voilà où nous a conduit le laxisme et la mosqueïsation de la France"

Robert Ménard, maire de Béziers

« François Hollande a dit hier soir que la France allait être « impitoyable ». J’aimerais que ce soit le cas. Qu’on ne reste pas dans le commentaire, dans le pathos. Un chef d’État, lorsqu’il parle à la nation au lendemain d’un massacre comme celui d’hier, n’a pas le droit de tromper ses concitoyens.

Alors, que faire ? D’abord, nous avons des services secrets. Il faut leur donner le feu vert : élimination systématique n’importe où dans le monde des islamistes directement mêlés aux attaques d’hier soir. Il ne faut pas « neutraliser » ces gens. Il faut les abattre.

Ensuite, il faut vider l’eau du bocal. Que les commandos islamistes ne soient pas comme des poissons dans l’eau. Arrestation immédiate de tous les islamistes fichés S. Pas de places en prison ? Ce n’est pas le sujet. Nous sommes en guerre. Création de camps de prisonniers.

Fermeture immédiate de toutes les mosquées mêlées à l’activité islamiste radicale. Expulsion des imams et des fidèles étrangers liés à ces mosquées radicales. Surveillance ou arrestation de ceux naturalisés ou convertis.

Expulsion effective et immédiate des immigrés provenant de régions en guerre qui n’auront pas obtenu le statut de réfugié. Cesser d’importer la guerre. Là encore, ne pas renforcer de milieus où les islamistes peuvent être comme des poissons dans l’eau.

Sur un plan municipal, le maire que je suis constate qu’une fois encore les polices municipales ont été appelées en renfort hier soir. On ne peut pas exposer nos hommes sans leur donner des moyens de riposte identiques à leurs collègues nationaux : pistolets-mitrailleurs, pouvoir d’investigation. C’est un minimum.
Ce sont des mesures très dures…

Il en faudra sans doute d’autres. Mais que veut-on ? Attendre un autre attentat pour les prendre ? Pour autant, ces mesures ne sont pas suffisantes en elles-mêmes. Il faut réarmer mentalement le peuple français. Il faut des chefs à la tête de notre pays. Il faut cesser de parler cette novlangue qui tue l’instinct de combat. Je le redis : parler comme le font tous les officiels depuis hier soir de « neutralisation », c’est se moquer du monde. Avoir peur des mots est indécent au regard des morts d’hier soir.

Commençons par nommer l’ennemi : l’islamisme. Cet islamisme qui, aux yeux de centaines de millions d’individus dans le monde, est le vrai islam. On ne parle pas d’un groupuscule de 5.000 types fanatiques. On parle d’un courant fondamentaliste, majoritaire à certains endroits, dans l’islam. Avez-vous entendu dire cela depuis hier ? Non. C’est donc la preuve que la classe politique comme les médias n’ont rien appris.

Dans ce contexte, faites-vous confiance à François Hollande ? Que pensez-vous de l’unité nationale demandée par la classe politique ?

Unité dans le combat, oui. Unité pour masquer les responsabilités, pour anesthésier les consciences, non ! On ne peut pas accepter qu’on nous refasse le coup de Charlie Hebdo une deuxième fois.

Si le gouvernement prend des mesures comme celles que j’évoque plus haut, alors, oui, on pourra aller vers l’unité. Nous en avons besoin car nous sommes en guerre. Mais parce que nous sommes en guerre, nous ne pouvons pas accepter une unité du mou, du flou et de la sidération. Rassembler le Congrès lundi. Pourquoi faire ? Quel ordre du jour ?

Il se tient aujourd’hui une grande réunion internationale sur la Syrie. Pensez-vous que ces attentats vont infléchir notre diplomatie ?

Je ne le sais pas. En tous les cas, ils fournissent à Laurent Fabius un prétexte pour enfin changer de position. Cela fait deux ans que je dis qu’il faut aider Bachar El Assad à écraser les islamistes. Tous les idiots utiles de la bien-pensance médiatique s’y refusaient. Bachar fait la guerre à ceux qui nous font la guerre.

Face à nos ennemis, nous ne devons plus hésiter et rejoindre la Russie dans une alliance pour liquider le plus possible d’islamistes là-bas. Avant qu’ils ne viennent ici ».
Boulevard Voltaire Robert Ménard

Comité d’Action pour le respect de l’Etat de droit

« Le CARED rend hommage aux victimes du terrorisme et rappelle que le CARED demande, depuis sa création en 2010, l’application du principe de précaution dans le domaine de l’immigration et de l’islamisation.
Il dénonce la politique des gouvernements successifs et demande aux actuels dirigeants d’appliquer ce principe de précaution dans le domaine de l’immigration et de l’islamisation en :
• ne laissant pas entrer en France des centaines de milliers de clandestins, en grande majorité de confession musulmane, parmi lesquels se trouvent des terroristes.
• interdisant la diffusion de livres islamistes, incitant au meurtre, la tenue de congrès et conférences salafistes,
• fermant un certain nombre de mosquées et en incarcérant ou expulsant tous les prêcheurs de haine qui y sévissent,
• expulsant, incarcérant ou assignant à domicile tous les terroristes potentiels fichés « S » qui passeront à l’acte tôt ou tard comme le montre les faits d’actualité répétés,
• laissant partir des terroristes djihadistes vers la Syrie au lieu de s’opposer à leur départ, et en empêchant leur retour,
• ouvrant enfin un grand débat national lucide sur la place de l’islam dans notre République, seule religion aujourd’hui capable d’enfanter de tels monstres, au lieu de s’enfermer dans le déni suicidaire du « pas d’amalgame ».

le salon beige

L’action française

« L’Action française pense d’abord, aujourd’hui, aux victimes, aux blessés, à leurs familles et à leurs proches. Elle pense aussi aux prochaines victimes, qui ne manqueront pas hélas : si la France est une fois de plus en deuil aujourd’hui, c’est à cause de la complaisance coupable des politiques vis-à-vis de l’islam radical :

fermons les mosquées salafistes ! Refusons que les États étrangers financent l’islam de France ! Rétablissons l’ordre et la justice dans les quartiers perdus de la République ! Si la France est encore et toujours en deuil aujourd’hui, c’est parce que les gouvernements successifs n’ont pas voulu écouter l’Action française, qui a mis en garde le pays contre le danger du multiculturalisme, l’absurdité de renoncer à l’identité française et la folie d’une immigration massive.

Aujourd’hui il ne suffit plus de dénoncer l’immigration massive, ni la politique étrangère désastreuse de la République, ni la violence islamiste, ni les discours inconséquents. Il faut engager une guerre contre les soldats de cette armée sans nom, sans loi et sans pitié. Expulsons immédiatement de notre territoire tous les étrangers ayant une fiche S ! Dénonçons Schengen et son idéologie de la libre circulation des personnes ! Donnons à l’armée française les moyens d’intervenir dans ce qui est désormais, à l’évidence, et malgré les déclarations imbéciles et irresponsables des politiques et des médias, une guerre civile, menée contre les Français, par des fanatiques qui haïssent la France !

Les Hollande, Valls et Cazeneuve doivent prendre leurs responsabilités et utiliser enfin leur autorité pour mener les vrais combats, tout en arrêtant d’accuser les patriotes et les nationalistes. Ils doivent faire enfin le choix de la France. L’Action française leur demande solennellement de prendre la mesure de leurs fonctions. »

Eléments de réflexion

il y a de quoi s’interroger sur la politique actuelle du Gouvernement en matière d’immigration et d’accueil de « migrants » et sur la politique de lutte anti-terroriste quand :

-  on refuse de nommer l’ennemi qui est face à soi : les islamistes
-  on laisse en liberté 5 000 personnes faisant l’objet d’une « fiche S » pour « Sûreté de l’État »
-  que 148 lieux de culte auraient actuellement basculé dans le salafisme en France
-  que l’on accepte une immigration massive et incontrôlée (cf. ci-dessous)
- que les gouvernements de MM. Hollande et Sarkozy aient pour alliés l’Arabie saoudite et le Quatar, pays proches de l’Etat islamique au Levant (Daesh)

Un des terroristes est entré en Europe comme "réfugié"

Depuis des mois, les médias dominants expliquent que ce n’est qu’un fantasme.
Aujourd’hui, un ministre grec annonce qu’un des terroristes, celui dont le passeport a été retrouvé, est un "réfugié" qui est arrivé comme "migrant" sur l’île grecque de Leros et enregistré comme tel le 3 octobre 2015 :

Source :

Yannis Koutsomitis ‏@YanniKouts
#Greece PublicOrderMin Toskas confirms Paris attacker w Syrian passport was registered as refugee on Leros island in Oct. /via @AntennaNews

Attentats à Paris : un terroriste français fiché depuis 2010

INFO LE POINT.FR. Ismaël M., 30 ans, habitant de Chartres et connu des services de police, est un des auteurs présumés de la tuerie du Bataclan.
Par Christophe Labbé, Olivia Recasens, Marc Leplongeon et Mélanie Delattre
« Une nouvelle faille dans les services de renseignements français ? Samedi matin, la police a identifié le corps d’un des terroristes présumés du Bataclan. Son doigt a été sectionné, arraché à sa main, et son empreinte génétique comparée au Fnaeg (le Fichier national automatisé des empreintes génétiques). L’identité de l’homme, déjà connu par la police pour des délits de droit commun, est alors apparue : Ismaël M., né en novembre 1985 et originaire de Courcouronnes, dans l’Essonne. Selon nos informations, le terroriste présumé était fiché par la DCRI depuis 2010. Il faisait l’objet d’une fiche "S". »

Source :

Le Point