Une politique d’immigration contraire au Bien commun

vendredi 23 mars 2018
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Une politique d’immigration contraire au Bien commun



La politique de M. Macron, pas plus que celle de M. Hollande précédemment, n’a permis à ce jour d’assurer la sécurité des Français : au-delà des mots, des discours et des condoléances, elle s’avère même gravement contraire au Bien commun, à l’intérêt général et au « vivre ensemble ».

Aujourd’hui la sécurité, la liberté d’aller et venir en toute tranquillité, jour et nuit, n’est plus assurée en France, malgré l’armée appelée en renfort aux forces de police et de gendarmerie débordées.

L’absence persistante de contrôles aux frontières conduit à importer l’insécurité et les risques d’attentats islamistes. Contrôler les frontières, comme cela s’est fait de si nombreuses années, ne signifie pas fermer les frontières, comme le prétendent certains arguments simplistes. Supprimer les contrôles aux frontières nationales conduit en fait à les multiplier à l’intérieur du territoire métropolitain, comme à multiplier barrages, chicanes, etc. pour protéger manifestations, cérémonies, etc. pour éviter que ne se reproduise ce que les Niçois ont vécu sur la promenade des anglais, à grands frais et sans garantie de résultat.

Oui, le contrôle strict des frontières est une des conditions de la sécurité.

Maîtriser enfin l’immigration et la limiter en est une autre, essentielle. A cet égard, nombre de Français ne peuvent que partager la plus grande part de l’analyse ci-dessous, proposée sur le site « ligne droite ». Aujourd’hui, après tant d’attentats islamistes perpétrés en France, tant de victimes innocentes, il est plus que temps de changer sérieusement de politique. Le Bien commun comme, à terme, la survie de la France, en dépendent.

Cela n’empêche en rien le devoir de charité que nous avons, en tant que chrétien, d’accueillir et d’aider les étrangers présents sur notre sol. Mais cela ne peut précisément se faire efficacement que pour autant que l’immigration soit sérieusement maîtrisée. Individuellement, nos moyens sont fort limités. Collectivement, comment y parvenir, avec le poids de nos 6 millions de chômeurs, 9 millions de pauvres, avec une fiscalité confiscatoire, une classe moyenne en voie de paupérisation, une dette publique abyssale dont aucun gouvernement récent n’est parvenu à enrayer la progression, des "territoires perdus de la République" dites aussi "zones de non-droit" et des prisons vétustes et surchargées ?

Pas d’amalgame- fort heureusement la très grande majorité des musulmans ne sont pas des terroristes en puissance- mais plus de laxisme comme on le subit depuis des années, plus de faux-semblants et de discours illusoires.

En ce drame de Trèbes, en ce vendredi 23 mars 2018, saluons le courage du lieutenant-colonel de gendarmerie Arnaud Beltrame qui s’est offert comme otage à la place d’une femme présente au supermarché de Trèbes, près de Carcassonne ; prions pour ce héros dont nous apprenons ce samedi matin le décès ; prions pour les 4 morts que nous avons à nouveau à déplorer en ce 24 mars : qu’ils reposent en paix. Prions également pour leurs proches et leurs familles si durement éprouvées. Prions pour les blessés. Prions enfin pour l’assassin Redouane Lakdim : comme le disait Notre-Seigneur Jésus-Christ parlant de ses bourreaux : "Père, pardonne-leur, ils ne savent ce qu’ils font".

Guy Barrey

Redouane Lakdim : condamné, fiché S, pourquoi a-t-il été ensuite naturalisé ?

« L’islamiste de Trèbes, Redouane Lakdim, a une biographie qui pose question sur la volonté de notre régime à lutter contre le terrorisme :

Né au Maroc en 1992
Condamné en 2011 pour détention d’armes
Fiché S en 2014
condamné pour outrage à agent en 2014
Nationalité française en 2015 (comment peut-on octroyer la nationalité française à un étranger condamné ?)
Prison en 2016 pour trafic de stupéfiants
Terroriste en 2018

Comme pour Merah en 2011, la surveillance poussée de Lakdim aurait été interrompue quelques semaines avant l’attentat. Or Lakdim avait le profil type de ceux qui passent à l’action depuis 2011 : consultation de sites islamistes, petite délinquance, port illégal d’arme...

Gérard Collomb a affirmé qu’il

« était connu pour des faits de petite délinquance. Nous l’avons suivi et nous pensions qu’il n’y avait pas de radicalisation, mais il est passé à l’acte brusquement. » « Il était connu pour possession et deal de stupéfiants. On ne pouvait pas dire qu’il allait être un radical passant à l’acte dans les temps qui venaient. »

L’Etat doit donner des comptes. »

Source : Michel Janva/Salon beige

Une analyse de la situation de la France au regard du terrorisme islamiste

« « Nous sommes en guerre contre le terrorisme », ne cessent de répéter les porte-paroles de l’oligarchie. Mais au-delà de ces propos incantatoires, rien n’est fait qui soit à la hauteur de cet enjeu guerrier. Pour Ligne droite il convient de commencer par stopper toute nouvelle immigration, de contenir l’islam hors de l’espace public et de retrouver la fierté de ce que nous sommes. Ce n’est que sous ces trois conditions que toutes les mesures répressives qui sont à amplifier considérablement pourront produire pleinement leurs effets bénéfiques et ramener la paix dans notre pays.

- Prendre la mesure de l’enjeu

Les attentats islamistes se multiplient. Variant les méthodes, les cibles et les lieux, ils reviennent maintenant de façon lancinante dans l’actualité au point d’introduire la peur et l’horreur au cœur de la vie quotidienne des Français. Face à ce fléau, les dirigeants de notre pays semblent chercher avant tout à éviter les amalgames, à occulter la dimension islamique du problème et à laisser croire qu’ils agissent efficacement.

Nous sommes en guerre contre le terrorisme, répètent-ils à l’envi, comme si cette affirmation pouvait suffire à écarter la menace. Mais la formule est révélatrice par elle-même de la crainte du système d’affronter la réalité, car c’est à un ennemi qu’on fait la guerre, pas à une méthode de combat. En 1940, les Britanniques faisaient la guerre aux Allemands, pas aux bombardements. En refusant ainsi de désigner clairement l’ennemi, la classe politique et médiatique s’interdit de prendre la juste mesure de la menace et de définir les meilleurs moyens de la contrer.

- Désigner l’ennemi

Ligne droite estime donc nécessaire d’affirmer clairement qu’une fraction du monde musulman, qu’on peut qualifier d’islamiste, mène contre nous une guerre sans merci avec l’arme du terrorisme. Aussi, les djihadistes ne sont-ils pas, comme on le répète souvent aux Français, des cas marginaux, pathologiques, voire psychiatriques. Quel que soit leur niveau d’éducation, ce sont des hommes de conviction, déterminés à se battre pour leurs croyances et, ce qui n’est pas rien, à mourir pour elles. Il est donc absurde de penser qu’on pourra les déradicaliser avec quelques cours sur le vivre ensemble ou les droits de l’homme.

Par ailleurs, ces combattants ne sont pas des individus isolés. Ils vivent au sein de la population islamique installée sur notre sol et s’y trouvent, tels les révolutionnaires de Mao Tsé-toung, comme des poissons dans l’eau. Certaines études indiquent en effet qu’environ un tiers des musulmans présents en France partagent leurs convictions islamistes. Et si l’écrasante majorité d’entre eux n’est pas prête à passer à l’acte, certains n’hésitent pas à aider les djihadistes, à les équiper et à les protéger. [ ]

- Stopper l’immigration

Or l’islamisme est le produit naturel de l’islam et la présence envahissante de ce dernier est la conséquence directe d’une immigration massive et incontrôlée qui se développe depuis plusieurs décennies sur notre territoire. Une immigration plus active que jamais qui apparait maintenant comme l’une des principale cause de la montée du terrorisme islamique. Aussi Ligne droite considère-t-elle comme essentiel de prendre une mesure de sauvegarde à la hauteur de la menace et de stopper toute nouvelle immigration, principalement en provenance des pays musulmans.

- Retrouver la force et la fierté

Pour autant, il ne suffit pas d’empêcher le danger de se développer, il faut également traiter le djihadisme déjà présent sur notre sol. Un djihadisme qui se nourrit d’abord du mépris que ressentent les islamistes à l’égard de la France et des Français qu’ils jugent faibles et décadents. Aussi un renouveau de notre pays changerait-il la donne. Si les Français célébraient à nouveau leurs valeurs, s’ils retrouvaient la fierté de ce qu’ils sont et la force de défendre leurs intérêts, ils inspireraient à nouveau le respect et beaucoup d’immigrés chercheraient à s’assimiler plutôt qu’à haïr la France. Le retour à une nation forte et fière, enracinée dans son identité, est pour Ligne droite la deuxième condition de la victoire contre les islamistes.

- Contenir et respecter l’islam

La troisième concerne la légitimité de notre pays à combattre l’islamisme dans les pays musulmans. S’il s’agit d’y défendre nos intérêts on peut la justifier au nom de la real Politik, mais, le plus souvent, l’ingérence moralisatrice de la France se retourne contre elle. D’autant que la propension des pays occidentaux à vouloir imposer partout leur modèle de société constitue, par son arrogance, une puissante explication de la haine que suscite notre pays. Aussi Ligne droite estime-t-elle nécessaire de revoir entièrement les relations de la France avec le monde musulman en les fondant sur deux principes simples. Exiger de l’islam en France l’observation stricte de toutes nos règles de civilisation, mais afficher en retour un grand respect pour la civilisation musulmane en terre d’islam, en reconnaissant l’indépendance des pays islamiques et en s’abstenant de toute ingérence quel que soit le régime dont ils se dotent.

- Réprimer et prévenir

La mise en application de ces trois principes fondamentaux créerait les conditions d’une victoire contre l’islamisme en France et en Europe.

Encore faudrait-il dans le court terme engager réellement l’action répressive à l’encontre des islamistes en commençant par s’en donner les moyens. Pour cela, il est indispensable d’augmenter les effectifs et les équipements des services de renseignement qui accomplissent d’ores et déjà un excellent travail. Il faut renforcer les forces de l’ordre et donner à la garde nationale embryonnaire la dimension d’un vaste corps de volontaires nombreux, motivés et facilement mobilisables.

Fort de ces moyens renforcés, il convient d’engager une action de harcèlement contre les islamistes visant à réduire leurs appuis sur notre sol. Il importe ainsi de procéder à l’expulsion systématique des étrangers fichés S et de placer les nationaux en rétention. Puisque la plupart des djihadistes sont des repris de justice, il est également nécessaire de procéder à l’expulsion de tous les délinquants étrangers ainsi que des clandestins. Quant aux djihadistes français partis combattre à l’étranger, il faut les empêcher définitivement de revenir sur le territoire national. Il convient par ailleurs de fermer les mosquées suspectées de promouvoir le djihad, d’expulser les imams radicaux, de démanteler les organisations islamisantes et de reprendre le contrôle des zones de non droit. Enfin, sur le plan de l’action psychologique, il est indispensable d’en finir avec l’obsession pathologique du refus de l’amalgame et de demander aux musulmans et à leurs représentants de condamner les islamistes sans ambiguïté, ce qu’ils ne font que très rarement.

Le terrorisme islamique n’est que la partie émergée du problème colossal que pose à notre pays l’immigration massive de musulmans qui ne s’assimilent pas. Pour venir à bout de ce fléau, Ligne droite considère en conclusion qu’il faut apporter enfin une vraie solution au problème de l’immigration.

Tout le reste n’est que faux-semblant. »

Site source à consulter

ligne droite en finir avec le terrorisme islamiste