Vaccins dangereux ? La preuve par les 117 morts anglais

mercredi 7 juillet 2021
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Vaccins dangereux ? La preuve par les 117 morts anglais



« Dans un bulletin publié le vendredi 25 juin dernier, l’agence sanitaire britannique Public Health England (PHE) a fourni des données sur le suivi du variant Delta, uniquement en Angleterre, depuis début février, le résultat faisant apparaître « 50 vaccinés parmi les 117 morts du variant Delta » (titre du Figaro), données très largement commentées par la presse française du 29 juin.

Ces éléments sont très instructifs à plus d’un titre :

– Parce qu’ils émanent d’un organisme officiel, donc on ne pourra pas accuser les dissidents et autres antivax que nous sommes de truquer les chiffres ;
– Parce qu’ils concernent le variant Delta qui semble bien vouloir prendre la relève du Covid-19 et dont on nous rabâche régulièrement l’importance ;
– Parce que pour la première fois nous avons une observation sur une population vaccinée et la possibilité de comparer objectivement entre vaccinés et non-vaccinés ;
– Et surtout parce qu’ils constituent -là encore pour la première fois- des résultats réels sur le terrain et non plus théoriques comme auparavant.

Ce dernier point est capital : jusqu’à maintenant, nous devions nous contenter d’estimations, de projections, de suppositions de la part des pouvoirs publics et des grandes firmes pharmaceutiques, bref de chiffres et d’estimations en réalité théoriques. Mais bien que théoriques, ces suppositions servent de modèles aux gouvernements pour déterminer la politique de santé publique en vue de combattre, disent-ils, l’épidémie de coronavirus.

Cas typique d’estimation théorique : « le PHE a estimé que Pfizer protégeait à 96% et l’AstraZeneca à 92% contre les formes graves liées au variant delta amenant à des hospitalisations » (Libération du 29/06).

Or cette fois-ci nous avons des résultats non plus théoriques mais réels, correspondant à ce qui s’est passé concrètement sur le terrain. De plus ces résultats proviennent d’un des pays ayant à la fois vacciné le plus tôt et une majeure partie de sa population.

La preuve : à l’heure où le rapport du PHE a été publié, donc au 25 juin, il est rappelé que « au Royaume-Uni 84,6% de la population adulte a reçu au moins une dose de vaccin et 62,1% est complètement vacciné » (Libération).
On notera aussi -ce n’est pas anodin- que pour les autorités sanitaires britanniques, les vaccins actuellement administrés protègent contre le variant delta.

Bien entendu, la grande presse française s’est empressée de minimiser le phénomène et de rassurer la population en manipulant les chiffres et en biaisant le raisonnement, peut-être parce que les journalistes, probablement eux-mêmes vaccinés ou candidats à l’être, ont besoin de s’auto-rassurer façon méthode Coué afin de ne pas évoquer – ni même envisager un seul instant- une éventuelle dangerosité, ou du moins inefficacité, des vaccins.

Tout ça à cause d’une raison majeure : les vaccins anti-Covid sont présentés par les autorités publiques, sanitaires et médiatiques, comme l’unique solution à la pandémie.

- Rappel des données du PHE (Public Health England)

Le bulletin du PHE publié le 25 juin 2021 donne les informations suivantes :
« Environ 92 000 infections par le variant delta ont été recensées entre le 1er février et le 21 juin (dont près de 80 000 dans les vingt-huit derniers jours). Dans presque 66,4% des cas de variant delta pour lesquels on connaît le statut vaccinal (81 014 cas), les personnes infectées n’étaient pas vaccinées ; 7,7% avaient reçu une première dose depuis moins de 21 jours, 16,9% depuis plus de 21 jours, et 8,9% disposaient de deux doses. Les moins de 50 ans sont surreprésentés puisqu’ils représentent 89,6% des cas. Ces derniers étaient (toujours pour ceux dont on connaît le statut vaccinal) à 72,8% non-vaccinés. »*

« Toujours depuis début février, 117 décès dans les 28 jours suivant la date du prélèvement positif au variant delta ont été enregistrés par le PHE. Dans le détail, 109 cas ont plus de 50 ans dont 68 sont vaccinés (50 avec deux doses, 18 avec une dose) et 38 non vaccinés. Chez les moins de 50 ans (huit cas), deux personnes avaient reçu une dose il y a plus de 21 jours, et six étaient non vaccinées. »*
* article Libération du 29/06

Le chiffre qui va ressortir le plus dans la presse française est donc ce constat : sur les 117 personnes décédées, 70 étaient vaccinées, dont 50 entièrement vaccinées et 20 primovaccinées, ce qui fait déduire au Figaro que « 59,8% des personnes décédées en raison du variant delta avaient reçu au moins une dose de vaccin . »
Figaro qui avait menti dans son titre parce que le nombre réel de vaccinés décédés n’est pas de 50 mais de 70 ! Soit 60%.

Oui vous avez bien lu : 60% des morts sont des gens vaccinés !!!

- Le constat instructif des chiffres

Bien. Reprenons maintenant les chiffres qui ont été donnés : que constatons-nous de prime abord ?

1) Premier constat : 117 morts sur 92000 cas ça donne un taux de létalité de 0,13 %, assez proche de ceux constatés en 2020 avec le Covid-19, malgré tous les efforts pour grossir les chiffres.

Le variant n’a donc pas une létalité élevée, elle est même très faible (0,1 % rappelons-le !) et ceci ne concerne pas exclusivement une population vaccinée puisque, de l’aveu même du PHE, ici 2 personnes sur 3 ne sont pas vaccinées (66,4% au total ne le sont pas, sachant que sur la population des moins de 50 ans, soit 90% des cas, le nombre des non-vaccinés monte à 73%).

Donc la létalité du variant se maintient pour l’instant à des niveaux très raisonnables, inférieurs à 0,2% de la population malade (et non de la population totale ! ce qui veut dire que son taux de létalité réel est pour le moment plus qu’insignifiant).

2) Deuxième constat : la population non vaccinée est largement prépondérante parmi les cas de personnes infectées (2 sur 3 en moyenne) ce qui est logique, puisqu’en principe le vaccin empêche de contracter la maladie, de même qu’il est logique de retrouver au sein des malades une majorité de moins de 50 ans, puisque les plus de 50 ans ont été vaccinés en premier. Dans ce domaine, les chiffres semblent confirmer l’intérêt de la vaccination.

Quoique… on a tout de même 34% de vaccinés ce qui est élevé puisque les vaccins sont « vendus » avec des taux de réussite élevés (88% pour Pfizer), mais on peut encore jouer sur le flou compte tenu de la proportion de gens n’ayant pas encore reçu les deux doses.

3) Troisième constat, qui complète et explique le deuxième, la population infectée est jeune : 90% ont moins de 50 ans. C’est bon signe d’une manière générale, et cela confirme que nous savions déjà avec nos un an de recul : la mortalité n’est élevée que dans les populations âgées et/ou souffrant d’autres comorbidités, d’où ce taux de létalité à la fois très faible au global (0,13%) et disproportionné : 109 morts de plus de 50 ans sur 117 ça fait 93% de morts de plus de 50 ans.

Donc résumons-nous : 90% des malades, dont 3 sur 4 sont non vaccinés, ne représentent que 7% des morts, et 10% des malades (+ de 50 ans) représentent 93% des morts.

Dans ces conditions, on peut légitimement se demander : à quoi sert le vaccin sur les moins de 50 ans ?

4) Quatrième constat, et c’est de loin le plus important : les vaccinés correspondent environ à un tiers de l’échantillon (1 sur 3) mais représentent presque les deux tiers des morts (60%), ce qui est d’une disproportion considérable.

C’est là que le mensonge des médias est flagrant : ils nous disent qu’il est normal qu’on retrouve des morts parmi les vaccinés parce que les vaccins ne sont pas efficaces à 100% mais à 88 ou 90%. Donc les malheureux vaccinés malades seraient ceux appartenant à ce contingent de 10% où le vaccin est inopérant. Admettons. Mais comment expliquer que 34% des malades représentent 60% des décès soit près du double ? Comment expliquer que plus d’un mort sur deux ait été vacciné ?
C’est l’inverse que l’on devrait constater, si les vaccins étaient efficaces : les morts devraient être majoritaires dans la population non-vaccinée et minoritaires dans la population vaccinée : or c’est le contraire que l’on constate, cette fois-ci à partir de données terrain, donc sûres, et non théoriques. Je rappelle que tout l’intérêt de ce rapport est d’avoir pu comparer deux populations, l’une vaccinée et l’autre non vaccinée.

Et puisque l’immense majorité des décès est constatée sur une population âgée, qui est aussi celle qui a été le plus vaccinée, l’écart est encore plus visible : 62% des morts de plus de 50 ans ont été vaccinés, donc on a presque deux fois plus de chance de mourir si on a été vacciné !

- En résumé :

– Il n’y a pas, sur le terrain, de létalité élevée du variant delta, son taux de létalité est même insignifiant, inutile d’alarmer la population avec des projections théoriques surdimensionnées quand les chiffres sur le terrain prouvent le contraire.

– Le rapport de protection dû au vaccin s’inverse : 2 personnes sur 3 ne sont pas vaccinées, mais plus d’un mort sur 2 est vacciné, ce qui veut dire qu’on a deux fois plus de risque de mourir si l’on tombe malade une fois vacciné que non-vacciné.

– Les populations jeunes (- de 50 ans) n’ont pas vraiment à craindre ce virus ; seules les personnes âgées et/ou présentant d’autres comorbidités présentent un risque plus élevé -mais qui reste très raisonnable en proportion de la totalité de la population- ce qui fait dire enfin à la grande presse et au PHE ce que nous, les dissidents et antivax avons répété tout au long de l’année dernière : « les personnes appartenant à des groupes à risque (…) peuvent donc être hospitalisées ou mourir avec le Covid-19 plutôt qu’à cause du Covid-19 » a précisé le PHE. Mais alors, puisque les autorités sanitaires admettent cette réalité, pourquoi les estampillent-ils parmi les morts du Covid-19 ? Pour grossir les stats ?

- Conclusion

Sur une population déjà très largement vaccinée, cette expérience de terrain permet de constater a priori une certaine efficacité des vaccins, y compris sur le variant delta, puisque 2 cas sur 3 n’étaient pas vaccinés. Seulement, le rapport s’inverse au niveau de la mortalité, car là c’est plus d’un sur deux qui meurt après avoir été vacciné. Autrement dit, le vaccin semble être un accélérateur de la mort et non un protecteur.

En pourcentages comme en volume le constat est sans appel : il n’y a pas à craindre une maladie qui ne tue quasiment pas (0,13% de morts), mais dans tous les cas il est certain qu’il vaut mieux ne pas être vacciné puisque, sur le peu de morts, on a deux fois plus de chance de mourir si on est vacciné que si on ne l’est pas.
Non seulement on ne voit pas l’intérêt des vaccins (on en revient du Covid : combien de gens de tous âges dans nos entourages l’ont contracté sans en mourir ?), mais on peut se poser légitimement des questions sur leur réelle dangerosité.

- Rappelons deux éléments essentiels :

a) Ces vaccins ont été mis au point en 6 mois environ. Leurs effets secondaires à court terme et leur impact sur la santé publique à long terme n’ont pas été testés dans les conditions légales (2 à 5 ans d’observation) pourtant nécessaires avant toute autorisation de mise sur le marché, ce qui relève du bon sens le plus élémentaire. De plus, la plupart de ces vaccins utilisent une nouvelle technologie de thérapie génique jamais testée sur l’homme de l’aveu même des firmes pharmaceutiques. Raison de plus, pour les pouvoirs publics, de redoubler de prudence et d’exiger encore plus de délais d’observation et de sévères garanties avant tout déploiement sur la population. Soit une apparition, au mieux entre 5 et 10 ans. Ce qui ne devrait pas poser de problème puisque cette maladie se soigne et présente un taux de létalité très faible (moins de 1% au global nous dit la grande presse, en réalité beaucoup moins) même en l’absence de vaccin.

b) Certains ont mis en évidence l’étonnante similitude entre la vaccination des populations et l’apparition des variants : ces derniers apparaissent lorsque les vaccinations à grande échelle commencent. Et dont les cas explosent dans les pays vaccinés, relançant une pandémie qui s’éteignait. D’où la question légitime : ne serait-ce pas la vaccination qui entraînerait l’apparition de variants ? N’y aurait-il pas corrélation entre les deux ? Variants qui, pour le moment, font paradoxalement plus de morts chez les vaccinés que chez les autres, donnant du crédit à ceux qui estiment que ces vaccins, outre une protection surévaluée contre le virus, affaiblissent le système immunitaire, ce qui expliquerait la plus grande vulnérabilité des malades vaccinés par rapport aux autres.

Alors, si le vaccin est un accélérateur de la mort et s’il est la principale cause de l’apparition des variants, il faut non seulement éviter de se faire vacciner, mais encore les pouvoirs publics ont le devoir de stopper et d’interdire au plus vite cette vaccination de masse. Je croyais que le principe de précaution prévalait ? N’est-ce pas en son nom que toutes ces mesures (masques, confinements, distances sociales etc.) ont été prises ? Le principe de précaution serait-il à géométrie variable ? Mais alors, ce n’est plus de la santé mais de la politique. Et il s’agit là d’une politique bien curieuse dont on peut se demander quels sont ses motifs véritables. »

Les articles cités :

libération

et

le Figaro