L’islamisme radical est polymorphe, s’insinuant dans tous les aspects de la vie sociale et tend à imposer une nouvelle norme sociale en se prévalant de la liberté individuelle
« Les sénateurs ont préparé 44 propositions pour lutter contre la radicalisation islamiste de la société. Nos confrères du Figaro ont pu lire ce rapport :
le figaro actualité France rapport du Sénat
L’islamisme radical est polymorphe, s’insinuant dans tous les aspects de la vie sociale et tend à imposer une nouvelle norme sociale en se prévalant de la liberté individuelle !
Autrement dit, c’est en utilisant nos propres règles comme la défense de la liberté individuelle que l’hydre islamiste est en train de gangréner le pays : cela rejoint pleinement les analyses du CER.
Le Figaro explique que la commission d’enquête pointe “la réalité de la radicalisation islamiste” en France et ses répercussions sur l’organisation de la société.
La sénatrice LR Jacqueline Eustache-Brinio (Val d’Oise) met des mots précis sur la propagation du mal :
– On pose un sujet de société : toute la France, sauf l’Ouest, est touchée par un islam radical, dit-elle. Aujourd’hui, en France, on assigne à résidence des gens au nom d’une norme religieuse. On ne peut pas l’accepter. C’est maintenant ou jamais qu’il faut réagir ! (Tiens, tiens, ça ne vous rappelle pas ce que nous écrivons ici depuis plus de huit ans ?)
Toujours selon Le Figaro, la sénatrice va plus loin :
– au-delà des lieux de culture, on assiste à la constitution dans certains quartiers d’un écosystème islamiste, où l’on vit entre soi.
Quelques unes des 44 propositions pour lutter contre cette islamisation galopante sont confondantes de naïveté. Deux exemples :
• Interdiction sur le territoire des prédicateurs des Frères musulmans (inapplicable, puisqu’il est impossible de prouver l’appartenance, et puisque les prêches sont diffusés via internet)
• Obligation pour les associations cultuelles de signer une “charte incluant le respect des valeurs de la République”. Ils signeront tous… la taqîya les y autorise.
Bref, comme nous y sommes habitués, nos politiques arrivent à faire de bonnes analyses, mais sont comme toujours complètement à côté de la plaque dans les solutions proposées, englués qu’ils sont dans l’idéologie, le politiquement correct, la pression droit-de-lhommiste, la pression de Bruxelles, etc… »
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