Les nouveaux barbares et l’ensauvagement de la France : quand comprendra-t-on enfin ?

vendredi 10 juillet 2020
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Les nouveaux barbares et l’ensauvagement de la France : quand comprendra-t-on enfin ?



Les nouveaux barbares et l’ensauvagement de la France : quand comprendra-t-on enfin ? Combien faudra-t-il encore de malheureuses victimes pour que les Français comprennent enfin que l’immigration massive et incontrôlée, au surplus sans réelle volonté d’assimiler, dans un contexte économique profondément et durablement très dégradé, n’est pas une solution, mais un problème.

Combien faudra-t-il encore de malheureuses victimes pour que les Français comprennent enfin que des populations déracinées à qui l’on n’apprend pas à aimer la France mais à la détester ne peuvent s’assimiler ni même s’intégrer aisément ? Il faut hélas pointer aussi ici la responsabilité d’une éducation nationale, qui n’est plus que l’ombre d’elle-même, avec des enseignements souvent au rabais, un enseignement dégradé de la langue française, un enseignement tronqué et mensonger de l’histoire.

Sans faire d’amalgame, ni généraliser ce constat- un très grand nombre d’immigrés sont fort bien intégrés- force est de reconnaître qu’il y a néanmoins un problème majeur, de grande ampleur, avec des phénomènes de violences gravissimes et inexistantes il y a encore cinquante ans, une sur-représentation dans les prisons des populations immigrées , avec des quartiers entiers hors de contrôle des forces de police et de sécurité, des "zones de non droit", des "territoires perdus de la république" comme on dit...

Comment peut-on faire venir de nouvelles populations, alors même que le Pays souffre d’un chômage massif, en lien d’ailleurs avec une très large pratique de délocalisation de nos entreprises ? C’est en effet condamner au chômage des centaines de milliers de personnes.

Ainsi, par idéologie, refus de prendre en compte le réel, les pouvoirs publics, les partis au pouvoir et les médias dominants creusent les fossés, créent des murs, de multiples frontières et barrières intérieures, la France se balkanise, se fragmente, se cloisonne, se paupérise de plus en plus.

Par rejet des frontières nationales, on en créé de multiples, bien plus nombreuses et qui sont dangereuses ; on laisse le multiculturalisme fissurer l’unité nationale, en bref, on détruit la nation France et, mois après mois, de nombreuses vies de Français avec elle.

Aujourd’hui, la vraie charité passe par l’urgence d’un renouveau et d’une redécouverte du cadre national avec ses frontières protectrices des populations et du Bien commun et facilitatrices d’un authentique désir de "vivre ensemble", avec aussi une politique volontariste et ambitieuse de relocalisation en France de nos outils de production. Puissent nos dirigeants, nos élus et l’Eglise elle-même le comprendre enfin.

Mélanie Lemée et Philippe Monguillot, victimes sacrifiées de l’ensauvagement français


Par
Quentin Hoster

« La gendarme tuée dans le Lot-et-Garonne, comme le chauffeur de bus, en état de mort cérébral à la suite de son agression à Bayonne, ont été victimes de voyous exemptés du savoir-vivre, au profit du “vivre-ensemble”. Derrière l’émotion nationale, un échec décennal, celui de l’assimilation.

Tous les oripeaux de la République sont convoqués. Fraîchement nommé ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin a rassemblé, ce 9 juillet, gendarmes de toute la France, officiels et élus de toutes obédiences. A la caserne Battesti de Mérignac, près de Bordeaux, siège de l’état-major régional de la gendarmerie nationale, Mélanie Lemée est décorée de la légion d’honneur, promue major à titre posthume. Le cercueil de la gendarme de 25 ans, tuée le 4 juillet dernier, près d’Agen, avance au morne rythme de la fanfare républicaine, sous les yeux de ses proches, réunis par dizaines. Injonction a été faite, à la rangée mitoyenne de caméras présentes, de ne pas filmer leur deuil.
Véronique Monguillot, l’épouse du chauffeur de bus sauvagement agressé à Bayonne, s’était, elle, exprimée la veille, face caméra, avec une vive émotion, largement partagée sur les réseaux sociaux. Dans un cas comme dans l’autre, les hommages sont dignes, silencieux, résignés à l’impuissance. « Dans la gendarmerie, elle a trouvé des missions à la hauteur de sa soif de servir. […] La lutte contre l’injustice était le combat qu’elle s’était choisi », a déclaré Gérald Darmanin, lors de la cérémonie d’honneurs militaires à Mélanie Lemée. « C’était un bon gars, entier. Il ne supportait pas l’injustice », s’était lui ému, hier, un collègue de Philippe Monguillot, à Bayonne, où les rues étaient envahies par une marche blanche en sa mémoire. De l’injustice qu’ils pensaient combattre, ils en sont pourtant tous les deux tombés.
« On se doutait bien qu’un jour il y aurait un drame ! »

Judokate accomplie, plusieurs fois médaillée au sein de l’équipe de France militaire et réserviste depuis l’âge de 19 ans, Mélanie Lemée a été renversée, délibérément, par Yassine E, alors qu’il tentait d’échapper à un barrage routier. Sous l’emprise de stupéfiants, en possession de 165 grammes de cocaïne, au volant d’une voiture de location dont il n’avait pas la responsabilité et sans permis de conduire, le jeune homme avait déjà été condamné à trois reprises par la justice. Il avait percuté la jeune gendarme à une vitesse estimée entre 130 et 160 km/h, lui arrachant la jambe. « Beaucoup de gendarmes et policiers sont blessés, tués en service. Plusieurs crimes récents montrent une sauvagerie dans notre société. On a un problème d’éducation et de laxisme avec des individus relâchés plein de fois », s’est indigné Florian Philippot des Patriotes sur CNews.

Chauffeur de bus de 59 ans, à un an de sa retraite, Philippe Monguillot, a, lui, été sauvagement agressé, en service, par quatre voyous, alors qu’il leur demandait de porter un masque et de s’acquitter d’un titre de transport. Gravement blessé à la tête, après avoir reçu plusieurs coups de pieds et de poings, il est aujourd’hui en état de mort cérébrale. « Ce n’est pas mon père qui respire, c’est la machine. On sait que c’est fini », a témoigné une de ses filles. Le principal suspect, Mohamed A., 40 ans, a peu après été interpellé à son domicile, avec trois autres hommes, qu’il hébergeait, ayant aussi pris part au lynchage. « Dans son appartement, il y avait toujours du bruit, parfois on entendait des bagarres. On avait alerté, on attendait qu’il parte, on se doutait bien qu’un jour il y aurait un drame ! » se désole une voisine du quartier Balishon, près de l’arrêt de bus où se sont déroulés les faits, connu pour son insécurité latente.

A Mérignac, Valeurs actuelles a pu observer des mines fermées, laissant échapper quelques sanglots, dans un silence funèbre. Mélanie Lemée, comme Philippe Monguillot, sont les victimes silencieuses d’un ensauvagement sonore. Quand l’incivilité quotidienne – soustraction aux règles sanitaires communes, auxquelles le chauffeur Bayonnais a été confronté – se mêle à la violence décomplexée, produits d’une assimilation échouée, la France s’émeut, mais sous des œillères. « Mélanie Lemée tuée par Yassine, Philippe Monguillot tué par Mohamed, Caroline agressée au couteau par un libyen à Bordeaux, Thomas poignardé par Rachid à Sarcelles… », s’indignait un observateur, en marge de la cérémonie à Mérignac. Autant de victimes du privilège blanc, assurément. »

Publié le 10/07/2020

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