La procédure de dissolution de Génération Identitaire doit scandaliser tout le camp national

jeudi 18 février 2021
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La procédure de dissolution de Génération Identitaire doit scandaliser tout le camp national



« En ces circonstances précises, malgré les différences et les divergences qui peuvent exister sur la cause profonde des maux qui frappent notre pays et notre civilisation ainsi que sur l’ensemble des mesures à prendre pour redresser le cap, c’est l’acte de persécution politique mené par la république maçonnique aux ordres du cosmopolitisme apatride qui doit retenir notre attention.

Le mouvement Génération Identitaire est persécuté pour de simples actions symboliques établies selon une méthode inspirée des coups d’éclat médiatisés de Greenpeace. Il faut le souligner au moment où, par ailleurs, le ministre de l’Intérieur qui a initié cette procédure de dissolution est un homme qui a lui-même été accusé de viol.

Préalablement, les jeunes militants identitaires – comme la jeune Thaïs d’Escufon et d’autres qui ont déployé une banderole contre le racisme anti-Blancs du haut du toit d’un immeuble parisien sous les huées d’une marée multiculturelle qui a pour idole un violeur noir homosexuel – ont fréquemment été placés en garde à vue et envoyés devant les tribunaux.

Les propos des dirigeants de Génération Identitaire n’ont pourtant aucune mesure avec ceux du rappeur Nick Conrad qui éructe “Je tue des bébés blancs, pendez leurs parents” et appelle à “brûler la France“. Et il n’y a aucune garde à vue quand Assa Traoré lance : “En Afrique, ils vont renverser le président, ils rentrent dans le palais. Ça se passe comme ça en Afrique, pourquoi ça ne devrait pas se passer comme ça en France ? Nous sommes prêts, nous pouvons faire une belle révolution“.

Comme je l’ai déjà écrit, la persécution politique menée par la république maçonnique vise d’ailleurs le camp national dans toute sa diversité. L’écrivain Hervé Ryssen est en prison depuis plusieurs mois pour de simples mots. Alain Soral avait été placé en garde à vue pour “provocation publique, non suivie d’effet, à la commission d’atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation“ et ne compte plus les procès, les lourdes amendes et les menaces d’emprisonnement. Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, est également menacé de prison pour ses écrits. L’abbé Beauvais avait été condamné à une amende pour un slogan contre Taubira qui rimait avec Banania, célèbre boisson illustrée autrefois par un tirailleur africain de l’armée coloniale. Des mouvements comme le Bastion Social et les Jeunesses Nationalistes ont été dissous par ordre de tribunaux. Les Gilets Jaunes ont été à plusieurs reprises violemment réprimés, comme avant eux les manifestants de la Manif pour Tous, tandis que les manifestations de casseurs et pillards multiculturels et d’extrême gauche bénéficient d’une mansuétude des préfectures.

Le constat saute aux yeux : la persécution politique se fait à l’encontre de tous ceux qui aiment réellement la France et veulent agir pour la défendre. C’est la preuve que c’est l’anti-France qui nous gouverne.

Et pendant ce temps, les Français de souche sont de plus en plus nombreux à être sauvagement agressés et humiliés. La criminalité se développe partout. Sans que la justice ni la police ne viennent l’affronter. Comme le commande la république maçonnique, la justice et la police réservent l’usage de leur sévérité implacable et de leur arsenal répressif contre les Nationaux. Plus encore depuis l’installation d’une dictature sanitaire. C’est insupportable, c’est inacceptable. Il faut le clamer. »

Alain Escada, président de CIVITAS
pour une cité catholique

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civitas institut