Face à l’imposture et au mensonge généralisés, mener une guerre pour la vérité, une guerre informationnelle et restaurer la cité chrétienne

dimanche 23 janvier 2022
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Face à l’imposture et au mensonge généralisés, mener une guerre pour la vérité, une guerre informationnelle et restaurer la cité chrétienne



« Mener une guerre pour la vérité, une guerre spirituelle et informationnelle

Le système du mensonge généralisé touche à tous les pans de la société (politique, monétaire, juridique, économique).

Valérie Bugault, docteur en droit et analyste de géopolitique juridique, dénonce cette imposture et l’explique bien dans ses derniers ouvrages, tomes 1 et 2 : "Les Raisons cachées du désordre mondial, Analyses de géopolitique économique, juridique et monétaire.

Le mensonge généralisé tient sur la base de trois grandes impostures : le parlementarisme dit "représentatif", la soit-disant "séparation des pouvoirs", et le pouvoir monétaire laissé aux mains des marchands (coup d’Etat bancaire de 1789), libres de mettre en esclavage toutes les populations du monde entier via le FMI et la Banque des recouvrements internationaux, la loi du plus fort sous les termes de "liberté" et de "démocratie", deux termes qui n’ont jamais été autant subvertis et piétinés.

Le dernier avatar en date de l’esclavage moderne est le Great reset, ou l’Etat de droit et nos libertés se voient anéantis, l’Etat libre et indépendant, volatilisé.
À côté de la guerre informationnelle à mener, la lutte pour défendre la vérité, il ne faut pas oublier que les soubassements matérialistes de notre contrat social sont en train d’aboutir à leur dernières conséquences où la liberté de l’homme sans Dieu proclamée en 1789 se transforme en esclavage sanitaire (covidisme, passeports vaccinaux, crédit social à la chinoise).

Notre salut : restaurer la cité chrétienne. Restaurer la cité où l’esprit surplombe et domine la matière (et non l’inverse...)

"Le Concile de Trente définit la vie chrétienne une pénitence continuelle, perpetua pœnitentia ; et notre époque, une jouissance continuelle, la plus large possible et par tous les moyens possible. L’homme devient chair. Inutile d’insister sur ce caractère du règne satanique, dont le développement rapide alarme tous les esprits sérieux." (Mgr Jean-Joseph GAUME, Traité du Saint-Esprit, 1864, Rééd. Éditions Saint-Rémi, 2019, p. 297.)

Dans son Traité du Saint-Esprit, (ibid., p. 62), Mgr Jean-Joseph GAUME explique ce caractère du règne satanique qui est avant tout une recherche d’une déification de l’homme et du bonheur par des moyens illégitimes, des moyens matérialistes qui sont ceux du démon (envie, désobéissance, gourmandise, orgueil de se sauver par ses propres forces) :

"L’autre est la Cité du mal. ... Son fondateur et son roi, c’est l’Esprit du mal : ses gouverneurs, les anges déchus ; ses citoyens, tous les hommes qui travaillent à leur prétendu déification (par les moyens du diable. NDLR.), conformément aux règles données par Satan. ... Elle se concentre dans les limites du temps, dont les jouissances forment l’unique objet de ces aspirations et de ses travaux. Elle est le désordre universel, parce que rien n’y est à sa place : l’homme en haut, Dieu en bas. Cette cité est le satanisme. Immense et hideuse famille, née de la révolte angélique, composée des démons et des méchants de tous les pays et de tous les siècles, toujours en fièvre de liberté, et toujours esclave, toujours cherchant le bonheur et toujours malheureuse."

En hébreu, le verbe "pécher" signifie manquer son but, se tromper de cible... Pécher, c’est se tromper de bonheur qui est Dieu.

Et Mgr Jean-Joseph Gaume ajoute :

"... L’homme vit nécessairement sous l’empire du Saint-Esprit, ou sous l’empire de Satan. Bon gré, mal gré, il est citoyen de la Cité du bien, ou citoyen de la Cité du mal." (Constit. apostol. lib IV, c. XXVI.) De là, le mot de saint Hilaire : "Où n’est pas le Saint-Esprit, là est le Diable."

"Quoi qu’il fasse, le monde inférieur (terrestre. NDLR.) ne peut se soustraire à l’influence du monde supérieur (spirituel. NDLR.). S’il rompt avec le Roi de la Cité du bien, il tombe forcément sous l’empire du Roi de la Cité du mal. Dieu ou le diable : pas de milieu." (Mgr Jean-Joseph GAUME, Traité du Saint-Esprit, ibid., p. 302).
"Jésus-Christ, roi ; ou Satan, roi. ... Jésus-Christ, roi dans l’ordre temporel, aussi bien que dans l’ordre spirituel ; ou Satan, roi dans l’ordre temporel, aussi bien que dans l’ordre spirituel..." (Ibid., p. 279.)

Même César appartient à Dieu. Le Christ doit être Roi.

Là est notre salut si l’on veut sortir la France de l’ornière matérialiste, de l’imposture et du mensonge généralisé dans laquelle elle est plongée depuis 1789. »

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Christroi