La cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques, avec ses scènes blasphématoires et attentatoires à la foi chrétienne, est une honte pour la France
« Les évêques américains ont été les premiers à réagir avant que l’épiscopat ne publie un communiqué. Mgr Barron, évêque d’Oklahoma-City, a dénoncé la moquerie sur la Cène qui ne faisait pas honneur à un pays qui a envoyé beaucoup de missionnaires dans le monde.
Certains pays ont censuré quelques passages de cette diffusion (même NBC aux Etats-Unis). Sur les réseaux sociaux, de nombreux prêtres offusqués demandent aux évêques de réagir. Certains prévoient de célébrer des messes de réparation. J’ignore si des évêques français ont réagi, mais à l’étranger, certains n’ont pas manqué de dénoncer ce scandale :»
Mgr Cordileone :
« Le fondamentalisme laïc s’est désormais infiltré dans les Jeux olympiques, au point même de blasphémer la religion de plus d’un milliard de personnes. Feraient-ils cela avec n’importe quelle autre religion ? Je demande à tous nos concitoyens de prier pour le rétablissement de la bonne volonté et du respect. »
L’évêque de Madison Donald Hying :
« En réparation du blasphème à Paris, jeûnons et prions, renouvelons notre dévotion à l’Eucharistie, au Sacré-Cœur et à la Vierge Marie. Que Jésus soit adoré et aimé dans tous les tabernacles du monde. Merci Seigneur pour l’Eucharistie et la Cène, ton amour pour nous. »
Mgr Strickland :
« L’intolérance envers les chrétiens et le blasphème à l’égard de Jésus-Christ, le Divin Fils de Dieu, exposés aux Jeux olympiques, constituent un nouveau creux pour notre communauté humaine. Honte à ceux qui ont produit cette moquerie, honte au Comité olympique et à la nation française de l’avoir permis. Cela ternit ce que devrait être la noble célébration du sport et de la compétition.
J’exhorte les athlètes à ne pas courir pour la couronne fanée de la renommée du monde, mais plutôt pour la couronne qui ne se fane pas, la vie éternelle en Jésus-Christ, le Fils de Dieu ressuscité. »
Sources : Salon beige, Riposte catholique
Face à ces justes réactions indignées, le communiqué des évêques de France, se contentant de "déplorer" les faits n’est pas à la hauteur du blasphème. Il fallait condamner et demander réparation. Faisons donc maintenant nous-mêmes réparation en allant adorer le Seigneur devant le Saint Sacrement.
Guy Barrey
27 juillet 2024