La République française est née dans le mensonge, le sang, par l’assassinat du sang innocent
La République française est née dans le mensonge, le sang, par l’assassinat du sang innocent, par un coup de force fomenté par une infime minorité de français, alors que l’ensemble des français étaient profondément royalistes. Cette République était fondamentalement anti-chrétienne, anti-catholique, ainsi que les années 1789 et suivantes le montrèrent.
Après les martyrs chrétiens des premiers siècles, la révolution, impulsée par la franc-maçonnerie, s’imposa dans le sang et la terreur, érigée en système de gouvernement. Pour imposer leur idéologie, les révolutionnaires n’hésitèrent pas, sous l’impulsion de la Convention, de conduire en Vendée un génocide organisé et programmé. Dans d’autres contrées, ils voulurent faire de même, notamment en la ville de Lyon, qu’ils entendirent éradiquer de la carte de France.
Tout ceci, l’histoire le démontre, les citations, témoignages, documents archivés, etc. sont disponibles et accessibles aux chercheurs. Mais l’histoire authentique, sans falsifications de toutes sortes, n’est plus enseignée dans les écoles, collèges et lycées publics. Car rappelons-le, la première république est née dans le mensonge, la falsification des faits et la tromperie.
En ce 21 janvier, commémorons l’assassinat du roi Louis XVI, la volonté diabolique d’éliminer Dieu et
Prions jusqu’au retour du Christ, vrai Roi de France, et de son Lieu tenant sur la terre de France.
Guy Barrey
« Le 21 janvier 1793 : assassinat de Louis XVI, Roi de France, sur la place de la révolution, ancienne place Louis XV et future place de la Concorde.
La France refuse que le pouvoir politique de la Nation trouve son origine en Dieu
À 10h20, sur la place de la Révolution, actuellement la place de la Concorde, le Roi de France, Louis XVI, âgé de 39 ans, est guillotiné. Emprisonné au Temple avec sa famille depuis le mois d’août 1792, il a été condamné à la peine de mort par le tribunal révolutionnaire le 18 janvier 1793, au mépris de toutes les lois du Royaume et de toute consultation de la volonté du peuple, dont ce tribunal se réclamait. La Convention l’accuse d’être un traître à la nation. Ses dernières paroles sont :
"Français, je meurs innocent ; je pardonne à mes ennemis ; je prie Dieu que mon sang ne retombe pas sur la France"... »
Mais la fin de ses mots est occultée par le roulement de tambour annonçant son exécution. Le 16 octobre suivant, le Reine, Marie-Antoinette est à son tour guillotinée. »
« Quand on relit Saint-Just et le célèbre pamphlet du Marquis de Sade, on comprend à quel point le meurtre du Roi fut un acte consciemment sacrilège, la profanation volontaire du sacre de Reims, « la messe noire de l’histoire de France », dont nous n’avons pas fini de vivre les ultimes conséquences. C’est un acte symbolique et théâtral, selon le génie de ce peuple, qui domine l’histoire de France, et s’oppose au baptême de Clovis à Reims ou l’aventure triomphale et sacrificielle de Jeanne d’Arc. Ce n’est pas une société profane qui s’est scellée dans le sang de Louis XVI, c’est une contre-chrétienté : en immolant l’Oint du Seigneur, ce peuple en tant que peuple abdiquait la haute espérance du royaume de Dieu. »
R.-L. Bruckberger, dans Dieu et la politique, p. 71
Et Pie VI, le 17 juin 1793 :
« Le Roi Très Chrétien Louis XVI a été condamné au dernier supplice par une conjuration impie, et ce jugement s’est exécuté (…) Qui pourra jamais douter que ce Monarque ait été principalement immolé en haine de la Foi et par esprit de fureur contre les dogmes catholiques (...) Ah ! France ! Ah ! France ! Toi que nos prédécesseurs appelaient le miroir de la Chrétienté et l’inébranlable appui de la foi ; toi qui, par ton zèle pour la croyance chrétienne et par ta piété filiale envers le Siège Apostolique, ne marche pas à la suite des nations, mais les précède toutes, combien tu nous es contraire aujourd’hui ! Ah ! Encore une fois, France ! Tu demandais toi-même auparavant un roi catholique. Tu disais que les lois fondamentales du royaume ne permettaient pas de reconnaître un roi qui ne fut pas catholique. Et maintenant que tu l’avais, ce roi catholique, c’est précisément parce qu’il était catholique que tu viens de l’assassiner !... Jour de triomphe pour Louis XVI, à qui Dieu a donné et la patience dans les tribulations et la victoire au milieu de son supplice ! »
(Allocution au Consistoire secret du 17 juin 1793 sur l’assassinat de Louis XVI)
Philippe Pichot-Bravard, la révolution française, Ed. Via Romana
Jacques Villemain, Vendée 1793-1794, une étude juridique, Ed. du Cerf
Reynald Secher Contribution à l’étude du génocide franco-français, la Vendée-Vengé
valeurs actuelles la France doit reconnaître le génocide vendéen