Le réveil de la France dite périphérique

mardi 4 décembre 2018
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Le réveil de la France dite « périphérique », des gueux, des pauvres et de la classe moyenne en cours de paupérisation



Les gilets jaunes » qui manifestent, ce sont les Français dits de la France « périphérique », faite de ceux qui n’arrivent plus à boucler leur budget et à pouvoir vivre décemment, c’est la France des gueux d’aujourd’hui, des pauvres, de la classe moyenne et « moyenne supérieure », en cours de paupérisation, sous les coups de butoir d’une fiscalité de plus en plus oppressante et confiscatoire, ce sont aussi les familles disloquées,les SDF, qui eux ne peuvent venir manifester à Paris, mais qui le voudraient bien et qui sont largement laissés pour compte, eux qui disent ouvertement que les « migrants » passent avant eux pour l’attribution des logements et des aides publiques. Toute cette France, attachée à sa terre, est en souffrance, est délaissée, méprisée, bafouée, et se sent de plus en plus rackettée par les pouvoirs publics dits représentatifs. Représentatifs ? c’est aussi toute la question…

Toujours est-il que cette France là se réveille, se révolte contre un ordre jugé injuste et entend bien manifester partout en province et jusqu’à Paris. Elle a entendu manifester pacifiquement et les manoeuvres politiciennes pour tenter d’assimiler ses membres aux casseurs d’extrême gauche, anarchistes et aux casseurs des banlieues ne trompent pas (cf. un des deux articles ci-dessous en vue de discerner qui sont les casseurs de l’Arc de Triomphe à Paris).

A l’Arc de Triomphe, symbole national fort, les « gilets jaunes » ont honoré et respecté la tombe du soldat inconnu et la flamme-symbole de la France et des morts pour la France. Au vu des « tags » sur le monument, il est clair que les actes de vandalisme effectués viennent des anarchistes, de l’extrême-gauche radicalisée et de certains autres fauteurs de trouble issus des banlieues. Ces actes de vandalisme ont suscité une légitime indignation et réprobation.

On aurait aimé qu’une même indignation et réprobation ait accompagné et accompagne les actes de vandalisme et de profanation dans nos églises catholiques. Malheureusement, il n’en a rien été, et ces actes de vandalisme et de profanation, recensés sur quelques rares sites dont celui de la christianophobie, sont la plupart du temps passés sous silence et minimisés par les grands médias et par les hommes politiques, y compris par le ministre de l’intérieur, pourtant en charge des cultes. Là encore, c’est une manifestation du mépris de la classe politique au pouvoir envers la France des terroirs, la France incarnée, l’âme chrétienne de la France.

Car aujourd’hui, les Français « gilets jaunes » qui manifestent sont pauvres, pauvres dans leurs ressources, de plus en plus obérées par le poids des prélèvements obligatoires, pauvres parce que leurs territoires sont les délaissés des politiques publiques, au bénéfice principal des résidents des grands centres urbains et des banlieues dites « défavorisées » ou « populaires », ils sont pauvres parce que les pouvoirs publics conduisent une politique d’enlaidissement des paysages, bouchant l’horizon d’éoliennes, énergie intermittente et nécessitant un couplage avec une autre source d’énergie, ils sont pauvres par la désertification médicale, conséquence de politiques publiques irresponsables de limitation draconienne des étudiants avec un « numerus clausus » inapproprié, etc. etc. : la liste est longue !

Les Français qui manifestent sont pauvres aussi de leur histoire dont on les prive, dont on les vole, ils sont pauvres de leur histoire chrétienne notamment, que les pouvoirs publics laïcistes et les grands médias ont dénaturé, tronqué, vilipendé, à coup de mensonges, d’approximations et d’amalgames.

Ainsi les Français sont pauvres aussi parce que privés de Dieu, privés de transcendance, d’espérance vraie ; ils ont été privés de l’amour de Dieu, qui pourtant ne cesse de les attendre et d’espérer leur retour. L’âme de la France, l’âme de nos terroirs, de nos villages, bourgs et villes est plus qu’étiolée, elle est morte si elle est privée de ce Dieu d’amour, celui venu dans la crèche de Noël et que, là encore, on cherche à nous enlever. Alors, ne l’oublions pas, ce sont les pauvres, les exclus que le Père éternel convie à son festin ; il nous attend, partout dans les églises de notre France.

Guy Barrey

vidéo sur les gilets jaunes

Prenez 30 minutes et regardez cette vidéo sur les gilets jaunes d’Arnaud Ubinsky !

les 4 vérités vidéo Arnaud Upinsky

CULTURELA UNEPOLITIQUESOCIÉTÉ

« Une nouvelle vidéo d’Arnaud Upinsky sur les gilets jaune Les Gilets jaunes sont les migrants de l’intérieur fuyant la Macronie.

L’heure est grave, la France est au bord du gouffre, la Révolution à laquelle Emmanuel Macron en appelait en 2017 est en marche !

C’est en docteur en philosophie politique,mathématicien et linguiste, qu’Arnaud-Aaron Upinsky, endossant le gilet jaune, propose aujourd’hui sa vision historique, épistémologique et politique, aux » Gilets jaunes en marche «  : pour triompher de l’imposture de la Magie Ventriloque du Président Macron, de la mystification électorale des Présidentielles 2017, et pour gagner la guerre de Reconquête politique qui s’impose comme enjeu des événements en cours d’écriture.

« Des scènes de guerre à Paris » ( Macron), « On marche sur la tête, c’est une abomination ! » ( Jacline Mouraud ). Oui,« Nous sommes en guerre », nous dit Arnaud-Aaron Upinsky, comme l’a révélé le Président Mitterrand. C’est une guerre d’aveuglement, une question de démocratie comme vient de le révéler Nicolas Hulot aux Français ! C’est un véritable défi à l’intelligence politique que les gilets Jaunes doivent maintenant relever.

Après l’irruption triomphale des « Gilets jaunes en marche » dans l’histoire de France, au seuil de l’Acte II de leur offensive, les voici sommés de se fixer une stratégie : un but, un plan, une méthode, comme les y invite le Maréchal Foch.
Dès l’élection d’Emmanuel Macron, le livre prémonitoire de « Macron le Président Ventriloque » a révélé la clef de la mystification dont les Français sont les dupes : la magie illusionniste d’un langage Ventriloque qui parle à leur place, pour les déposséder de leur souveraineté et pour mieux les ruiner !

Sa grille de lecture décrypte les trois verrous d’aveuglement, expliquant la colère des Gilets jaunes, et à faire sauter en trois temps :

1) Acte I : Le secret d’illusionnisme de la victoire d’Emmanuel Macron ;
2) Acte II : Le« plafond de verre » interdisant au Peuple français de se faire entendre et d’avoir leur propre gouvernement, non dominé par les lobbies ;
3 ) Acte III : Le« Mal français « faisant que jamais les Français n’ont droit à avoir une tête politique qui ne soit montée à l’envers du Corps de la Nation.

La Révolution de la Vérité politique est en marche. En brisant le« plafond de verre » qui empêchait la véritable élite de la France – dont les Gilets jaunes sont l’avant-garde visible – de se faire entendre, cette Révolution des « Invisibles de la République » a engagé l’Etape II !

Dans sa dernière tribune du 27 novembre 2018, Arnaud-Aaron Upinsky propose aux Gilets jaunes sa grille de lecture stratégique, du champs de bataille et de son arme du langage, devant permettre à la Révolution de la Vérité politique, dont ils sont l’expression, de redonner à la France l’authentique tête de Salut Public à laquelle elle aspire pour se retrouver elle-même, comme aboutissement de l’élan donné par les « Gilets jaunes en marche » : juste retour de bâton de ces marcheurs d’opérette que Macron avait levés en 2017, pour donner l’illusion d’une Révolution démocratique, s’étant révélée pur simulacre lorsque Nicolas Hulot démasqua le vrai gouvernement des Lobbies.

Il faut réarmer l’intelligence politique ! L’ordre de marche en trois étapes du » Président Macron Ventriloque », correspondant aux trois temps de la prise de pouvoir par Emmanuel Macron, en appelle les Gilets Jaunes à faire en vrai ce qu’Emmanuel Macron avait promis et a fait en faux ! Telle est la leçon de l’émergence des » Gilets jaunes en Marche », se faisant les véritables marcheurs de la Reconquête de la tête de la République » à la française » ! Tel est l’acte II de la transition politique en marche ! Tel est le fil d’Ariane de la Victoire ! »

Saccage de l’Arc de Triomphe : et si on osait dire la vérité ?

« Il est de bon ton – allumez votre poste sur France Info, vous comprendrez – d’imputer les violences et la casse de samedi « à l’utra-droite, à l’ultra-gauche et à des gilets jaunes radicalisés ». Tout le monde est renvoyé dos à dos, un partout, la balle au centre, c’est bien pratique.

Sauf qu’il y a les faits.

François de Sales est le patron des journalistes, mais un autre saint bien connu pour son scepticisme et ses pieds sur terre pourrait aussi faire l’affaire. Saint Thomas : « Je crois ce que je vois. »

Et qu’ai-je vu, samedi, sur les Champs-Élysées ? Un mélange hétéroclite de paysans de l’Aveyron ou d’employés bretons – sans doute capables, poussés à bout, de violentes colères comme souvent les taiseux – et de casseurs professionnels suréquipés, arborant (au choix ou en même temps) dreadlocks, capuches noires rabattues ou gilet jaune frappé du « A » anarchiste. Donc, soit Bob Marley est devenu tendance à « l’utra-droite », soit il n’y avait, là où je me trouvais, que des groupuscules de l’autre bout de l’échiquier. Peut-être, après tout, l’ultra-droite s’était-elle donné rendez-vous ailleurs ? Admettons.

Mais il y a l’Arc de Triomphe.

À l’Arc de Triomphe aussi, nous explique-t-on très sérieusement, il faut incriminer TOUS les ultras. Eu égard à leur antimilitarisme viscéral, on penserait plutôt à la gauche ? Non, on aurait trouvé des preuves de coresponsabilité : ces ennemis jurés, qui ne peuvent se croiser à une vente Fred Perry sans qu’il advienne un drame, auraient tagué tranquillement de concert, côte à côte : sur l’Arc de Triomphe, on a trouvé le « A » de « anarchie » entouré d’un cercle, « nik l’État », « classe contre classe », « pas de guerre entre les peuples et pas de paix entre les classes », « gilets jaunes antifas », « vive les enfants de Cayenne » ou encore « justice pour Adama », toutes luttes dont on connaît la coloration politique.

Selon le site du Point, pourtant, « l’ultra-droite est parvenue à signaler sa présence sur le monument : « L’Ultra-droite perdra Manu », ont relevé les policiers »* (sic). Très forts, les policiers. Mais peut-être un peu daltoniens ? À moins que ce ne soit au journaliste du Point qu’il faille offrir des lunettes pour Noël ? Car la photo de l’Arc de Triomphe tagué parle d’elle-même : il est écrit, en haut, « L’ultra-droite Perdra » – encre noire et écriture scripte – puis, en bas, « MANU MA TUER », en encre rouge et en majuscules, ce qui laisse supposer à tout observateur, même frais émoulu du cours préparatoire, qu’il s’agit de deux tags différents, bien sûr, et non de la même phrase. Si l’on s’en tient à la thèse du Point, pourtant, notre tagueur d’ultra-droite se serait interrompu au milieu de sa phrase pour changer de couleur et de style d’écriture, et aurait ensuite écrit un « MA TUER » sans queue ni tête, puisqu’il n’y a plus de sujet, « MANU » fonctionnant avec la phrase du haut…

Mais, me direz-vous, pourquoi ratiociner sur ce sujet ?

Parce que la mise à sac de l’Arc de Triomphe est une action hautement symbolique qui a profondément indigné et sur laquelle il importe de ne pas raconter n’importe quoi.

Parce qu’incriminer tout le monde, c’est n’incriminer personne. Surtout pas ces groupuscules d’extrême-gauche au modus operandi bien huilé, on les avait vus à l’œuvre dans les universités, à l’endroit desquels les gouvernements successifs, de gauche par sympathie, de droite par trouillopathie – pathologie autrement nommée syndrome Malik Oussekine – ont fait preuve d’une incommensurable indulgence, et qui aujourd’hui infiltrent et radicalisent les gilets jaunes.

Enfin parce que quiconque a couvert ces manifs le sait : les journalistes accusés de décrire non pas ce qu’il voient mais ce qu’ils aimeraient voir sont, pour les gilets jaunes, une profession démonétisée. Leur faire retrouver crédit passe par une implacable quête de vérité.

C’est bien l’ultra-gauche qui a mis à sac, sinon la totalité du quartier, au moins l’Arc de Triomphe. Et elle l’a signé. »

Site source :

bvoltaire