Saint Joseph, aidez les femmes enceintes à accepter l’enfant qu’elles portent en elles

vendredi 1er mai 2015
par  Jean-François
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Saint Joseph, aidez les femmes enceintes
à accepter l’enfant qu’elles portent en elles



Saint Joseph, chef de la Sainte Famille, vous qui avez su accepter Marie et l’enfant Jésus, son divin Fils, aidez-nous dans le combat pour la Vie, aidez les femmes enceintes à accepter l’enfant qu’elles portent en elles, priez pour elles et les enfants qu’elles portent en elles afin que l’amour les guide toujours

« Un étudiant en médecine horrifié : « J’étais pro-choix, mais je viens de voir un bébé se faire déchirer membre par membre dans un avortement »

Publié par Pour une Culture de Vie le 27/04/2015 12:03

Par Sarah Terzo de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

« Il y a quelque temps, j’ai reçu un témoignage d’un étudiant en médecine qui a préféré ne pas laisser son nom. Il venait d’être témoin d’un avortement dans le cadre de sa formation. Profondément troublé, il a voulu en parler à quelqu’un. Il était hanté par ce qu’il avait vu.

L’étudiant commence en disant qu’il était fermement dans le camp pro-choix avant d’assister à cet avortement :

« Pour commencer, je dois dire que jusqu’à hier, vendredi le 2 juillet 2004, j’étais fermement pro-choix. Je suis un étudiant en médecine et, étant très scientifique, j’avais compris que la masse de cellules qui forme le corps du fœtus n’est généralement pas en mesure de survivre avant d’avoir passé le stade de vingt-quatre semaines dans l’utérus. Je suis aussi quelque peu libéral et je croyais que toutes les femmes devaient avoir le droit de choisir de ce qu’elles faisaient avec leurs corps et avec le corps de celui qui pourrait potentiellement grandir à l’intérieur d’elles ».
L’étudiant avait entendu les slogans utilisés par les mouvements pro-choix. Il les a pris au pied de la lettre, croyant que le bébé à naître était « une masse de cellules » et non pas un être humain à part entière. Il a estimé qu’une femme « avait le droit de contrôler son corps » et n’a pas éprouvé d’empathie pour le minuscule bébé à l’intérieur d’elle. Il n’a pas cru en l’humanité de l’enfant ou en son droit à la vie.
Alors, il a saisi l’opportunité d’assister à un avortement. À cause de ses croyances pro-choix, il ne s’attendait pas à être dérangé par quoi que ce soit dans ce qu’il verrait :
« Cet été, j’ai été accepté dans un programme pré-médical à New-York, programme dans lequel on nous permettait de suivre les docteurs et de les observer pratiquer toutes sortes d’actes médicaux. Quand l’opportunité de voir un avortement s’est présentée, je n’ai pas hésité une seule seconde avant d’accepter l’offre. C’était un acte nouveau, précis, et excitant auquel je n’avais jamais assisté ».

Il décrit alors avec exactitude ce dont il a été témoin dans la salle d’opération :
« Quand je suis entré dans la salle, j’ai remarqué qu’elle était semblable à toutes les autres salles dans lesquelles j’avais déjà travaillé. Sur la table devant moi, j’ai vu une femme avec les jambes dans les airs, comme si elle était en train d’accoucher, bien qu’elle fût endormie. À côté d’elle, il y avait un plateau d’instruments pour l’avortement et une machine pour aspirer les tissus fœtaux de l’utérus. Les docteurs ont enfilé leurs habits et mis leurs masques, puis la procédure a commencé. Le col de l’utérus a été tenu ouvert avec un instrument métallique brut et un grand tube transparent a été inséré à l’intérieur de la femme. En quelques secondes, le moteur de la machine a démarré, et du sang, des tissus et des petits organes ont été aspirés et retirés de leur environnement. Une minute plus tard, l’aspirateur s’est arrêté. Le tube a été retiré. Collés au bout se trouvaient un petit corps et une tête à peine rattachée puisque le cou avait été broyé. Les côtes étaient formées et il y avait une mince couche de peau pour les couvrir, les yeux s’étaient formés et les organes internes avaient commencé à fonctionner. Le cœur minuscule du fœtus, de toute évidence un petit garçon, venait de s’arrêter à tout jamais. Le filtre de l’aspirateur a été ouvert, et les bras et jambes minuscules qui ont été déchirées du fœtus s’y trouvaient. Les doigts et les orteils commençaient à avoir des ongles. Les docteurs, fiers de leur travail, ont rassemblé les différentes parties du corps pour me les montrer. Les larmes me sont montées aux yeux lorsqu’ils ont enlevé le petit bébé de la table et jeté son corps dans un contenant pour déchets biologiques ».

Puisque cet avortement a été effectué par succion, le bébé doit avoir été d’au moins treize à quatorze semaines, mais il était quand même assez âgé pour que son humanité soit évidente.

Les avortements effectués lors du deuxième trimestre sont généralement faits par dilatation et évacuation, une procédure dans laquelle des forceps sont utilisés pour déchirer et broyer le bébé plutôt que l’aspirer.

L’étudiant était hanté par ce qu’il avait vu :

« Depuis hier à 10:30, je n’ai pas réussi à penser à autre chose qu’à ce que ce petit bébé garçon aurait pu devenir. Je ne pense pas que les gens réalisent ce qu’est un avortement avant d’en voir un pour de vrai. J’ai été torturé par ces images – tellement vraies et vives – pendant deux jours maintenant.... Et je n’étais qu’un spectateur.
Jamais plus je ne serai pro-choix, et jamais plus je supporterai le meurtre d’êtres humains, peu importe le stade de vie auquel ils sont rendus. »

Contrairement à la grande majorité des avortements, la mort de ce bébé a été pleurée. Quelqu’un a senti la tristesse et l’horreur rattachées à son décès. Chaque jour, des milliers de bébés comme lui sont aspirés hors de l’utérus de leurs mères. Ils sont rejetés par leurs mères et vus comme des déchets par leurs tueurs. La société permet à ces bébés de mourir silencieusement, sans reconnaissance ou compréhension de leur humanité. Ce petit garçon n’aura jamais de nom. Il ne respirera jamais une bonne bouffée d’air, n’aura jamais de petit chien de compagnie, ne regardera jamais un coucher de soleil, n’ira jamais se promener à bicyclette... Il n’éprouvera jamais toutes ces choses que vous et moi prenons pour acquises. Mais peut-être que ce bébé n’est pas mort complètement en vain. Sa mort tragique a révélé la vérité à ce jeune homme. Et vous aussi, lecteurs, connaissez maintenant les circonstances terribles entourant la mort de ce bébé.

Peut-être que l’histoire de ce malheureux enfant peut vous motiver à devenir plus actif dans le mouvement pro-vie. Il y a beaucoup de choses que vous pouvez faire, même à partir de votre ordinateur. Partagez cet article sur Facebook. Soumettez votre adresse courriel pour recevoir régulièrement des nouvelles des groupes pro-vie. Faites des dons d’argent pour des organisations pro-vie ou pour des centres d’aide pour femmes enceintes et en détresse – tous les dons sont bienvenus. Envisagez d’aller à une clinique d’avortement pour essayer de parler aux femmes qui y entrent (avec respect et gentillesse). Votez pour des partis pro-vie. Parlez à vos proches des horreurs de l’avortement, partagez-leur cet article ou d’autres. Soyez patients et compréhensifs, soyez gentils, soyez respectueux, mais par dessus tout, soyez actifs. Faites quelque chose. »

Vos enfants ne sont pas vos enfants, l’enfant que vous portez en vous ne vous appartient pas ; votre corps vous appartient, oui, mais l’enfant que vous portez en vous ne vous appartient pas !

Poème de Khalil Gilbran (1883-1931)

Et une femme qui portait un enfant dans les bras dit,
Parlez-nous des Enfants.
Et il dit : Vos enfants ne sont pas vos enfants.
Ils sont les fils et les filles de l’appel de la Vie à elle-même,
Ils viennent à travers vous mais non de vous.
Et bien qu’ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas.
Vous pouvez leur donner votre amour mais non point vos pensées,
Car ils ont leurs propres pensées.
Vous pouvez accueillir leurs corps mais pas leurs âmes,
Car leurs âmes habitent la maison de demain, que vous ne pouvez visiter,
pas même dans vos rêves.
Vous pouvez vous efforcer d’être comme eux,
mais ne tentez pas de les faire comme vous.
Car la vie ne va pas en arrière, ni ne s’attarde avec hier.
Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetés.
L’Archer voit le but sur le chemin de l’infini, et Il vous tend de Sa puissance
pour que Ses flèches puissent voler vite et loin.
Que votre tension par la main de l’Archer soit pour la joie ;
Car de même qu’Il aime la flèche qui vole, Il aime l’arc qui est stable.

(extrait du recueil Le Prophète)

Source :

poesie gibran