Saint Martin, évêque de Tours, Apôtre des Gaules, Saint Patron de la France
« Né en 316, saint-Martin fut l’évêque de Tours de 371 à 397. Il est vénéré depuis 16 siècles dans nos régions. Fêté le 11 novembre (date de sa mise au tombeau). Près de 4.000 églises lui sont dédiées en France.
Les Mérovingiens avaient fait du saint leur protecteur.
En 1433, Charles VII, roi indissociable de l’épopée de sainte Jeanne d’Arc, rappelle la dévotion des prédécesseurs rois de France et exprime l’espoir que saint Martin aidera au « recouvrement du royaume et à ses autres affaires. »
Des privilèges de Louis XI font de saint Martin « le spécial tuteur de notre royaume qui a tant aidé nos prédécesseurs ». En 1481, il accorde de nouvelles faveurs pour que ce saint contribue « à l’entreténement et préservation du royaume... à son accord, paix et union. »
Saint Martin, saint Rémi ou saint Denis ont joué un grand rôle dans la christianisation de la Gaule et restent les saints patrons du royaume franc.
Saint Martin de Tours est le disciple de S. Hilaire de Poitiers (315-367).
Mais, à l’opposé de son maître, Martin ne s’imposa pas par un engagement théologique. Ses miracles et ses guérisons le firent connaître, et lui valurent l’adhésion puis l’amour de nombreux convertis, le respect et la fidélité de nombreux moines et prêtres. (Christine DELAPLACE, Jérôme FRANCE, Histoire des Gaules, VIe s. av. J.-C. - VI. ap. J.-C., 5e édition Armand Collin, Domont 2016, p. 241.)
MARTIN (nom qui signifie voué à Mars, le dieu de la guerre), naquit d’un légionnaire des armées de l’empereur Galère, dans la petite ville de Sabaria, en Pannonie (Hongrie), vers 316
À Pavie, où un changement de garnison amena son père, épris des splendeurs du culte chrétien, il se fit à dix ans, avec la permission paternelle, inscrire au nombre des catéchumènes.
Enrôlé dans l’armée romaine à quinze ans comme fils de vétéran, il fut bientôt officier, et se fit remarquer par sa bravoure et par sa charité envers les malheureux.
Un jour à Amiens en Picardie, où il tenait garnison, Martin rencontra un pauvre presque nu qui grelottait de froid. N’ayant rien à lui donner, fidèle à la charité du Christ, il détacha de ses épaules son manteau, le fendit en deux d’un coup de sabre, et en donna la moitié au mendiant. La nuit suivante, Jésus-Christ lui apparaissait couvert de son manteau. « C’est en 334, à Amiens, que la tradition place le partage de son manteau. » (Le Figaro Histoire, Les Racines chrétiennes de la France, octobre-novembre 2016, n° 28, p. 79.)
Après cette vision, Martin sollicita de l’évêque d’Amiens la grâce du baptême (352).
Statue de Saint Martin à Tours En 355, Martin quitte Amiens pour suivre Julianus Flavius Claudius, le gouverneur des Gaules, Julien, dit plus tard l’Apostat. « L’empereur a pris la tête de l’armée du Rhin et Martin est incorporé à sa garde rapprochée pour cogner les Alamans. Sulpice Sévère nous raconte que pendant la campagne d’Alsace, Martin se retrouve à Worms. À la veille d’une bataille décisive, Julien distribue lui-même de l’argent pour motiver ses troupes. C’est le donativum. "Martin dit à César : ’Jusqu’ici j’ai été à ton service : permets-moi d’être au service de Dieu.’" Julien prend très mal la chose. Il accuse Martin d’être une poule mouillée. Piqué au vif, Martin demande à l’empereur de pouvoir aller au front désarmé avec pour seule protection le signe de la croix. [...] Contre toute attente, une délégation des Alamans vient négocier la paix. » (Samuel PRUVOT, Nos Ancêtres les Saints, Petite histoire de la France missionnaire, Cerf, Paris 2017, p. 32).
Ayant obtenu sa mise à la retraite, il se rendit près d’Hilaire, évêque de Poitiers (356), « l’Athanase de l’Occident », qui le mit au nombre des acolytes.
« Il quitta l’armée au cours d’une expédition de Julien en Gaule en 356. » (Christine DELAPLACE, Jérôme FRANCE, Histoire des Gaules, VIe s. av. J.-C. - VI. ap. J.-C., ibid., p. 241)
Martin rompit avec le milieu des armes et quitta la cour du César Julien, au moment où celui-ci se préparait à restaurer les cultes païens dans l’empire et, devenu Auguste (empereur) imposerait bientôt l’abjuration de leur foi aux soldats de la garde impériale. (Le Figaro Histoire, Les Racines chrétiennes de la France, octobre-novembre 2016, n° 28, p. 47.)
Pendant l’exil d’Hilaire, Martin alla à Pavie, où il convertit à Jésus-Christ sa mère et beaucoup d’autres personnes, et combattit l’arianisme (hérésie niant la sainte Trinité - c’est-à- dire la consubstantialité du Père et du Fils - et hérésie niant donc la divinité de Jésus-Christ).
Chassé de Milan par les ariens, il vécut quelque temps solitaire dans la Gallinaire, île du golfe de Gênes.
Dès qu’Hilaire fut rentré d’exil dans son diocèse, Martin revint et le rejoignit en Gaule, entreprenant désormais cette grande oeuvre de fondations monastiques qui constitue l’une des faces de son immense action (360). Par exemple, il fonde le monastère de Ligugé, où il ressuscite deux morts devant un nombreux public : un converti auquel il n’avait pas encore donné le baptême, et un grand propriétaire du voisinage, nommé Lupicinius. Ce miracle est rapporté par un témoin oculaire, Sulpice Sévère.
L’Abbaye Saint-Martin de Ligugé est un monastère de moines bénédictins situé dans la commune de Ligugé (département de la Vienne, France) fondé par l’ermite saint Martin en 361. Ce monastère est le plus ancien établissement monastique d’Occident encore en activité.
Lorsque en 371, l’abbé Martin est élu au siège de Tours, le christianisme a pénétré depuis deux siècles dans les Gaules ; on y trouve, dès le IIIe siècle, de nombreux diocèses.
Le christianisme gaulois, de foi simple et vive, de moeurs strictes, est encore très proche des traditions des temps primitifs.
L’Église de Gaule, qui s’était fortement accrue au IIIe siècle, fait au cours du IVe siècle un véritable bond en avant. En 312, au moment de la paix constantinienne (édit de Milan, liberté de culte donnée aux chrétiens de l’Empire et fin des persécutions), elle compte trente évêchés ; cinquante ans plus tard, soixante. (DANIEL-ROPS, Histoire de l’Eglise du Christ, tome II Les Apôtres et les Martyrs, Librairie Arthème Fayard, Paris 1965, p 410, 416)
Chaque cité dirigée par un évêque possède un clergé, une liturgie, l’administration des sacrements ; mais les campagnes sont restées vouées aux cultes idolâtriques ; au point que paganus, qui signifie paysan, a pris pour les chrétiens des villes le sens de païen.
L’évêque Martin va mériter son nom d’apôtre en ensemençant le catholicisme dans ce territoire entre le Rhin et les Pyrénées, qui fera l’objet de la conquête de Clovis : il le prépare au roi barbare qui va unifier la Gaule chrétienne sous son sceptre (au Ve s. Ndlr.) Ce lien entre la conquête des âmes et la conquête du sol sera perçu par Clovis, qui éprouvera une profonde ferveur pour saint Martin, et lui manifestera un culte public. Et cela dès sa conversion.
[U]ne chose est certaine : Clovis a voulu placer sa conversion sous le patronage de saint Martin de Tours. Et il ne s’est pas contenté de cette démarche solitaire un jour de ferveur exceptionnelle ; il a renouvelé ces marques de dévotion et les a fait partager à son armée. » (Ivan Gobry, Saint Martin, Perrin, Mesnil-sur-l’Estrée 1996, p. 9-11.)
En 372, l’évêque Hilaire meurt. La foule de Tours réclame Martin. Il a la réputation d’être un saint, un apôtre, un merveilleux guérisseur. Il veut se dérober à l’honneur ; ses futures ouailles le prennent, l’amènent à Tours, cependant que les prélats se demandent, au dire de Sulpice Sévère, si l’on peut faire un évêque « d’un homme de si petite mine, si mal vêtu, si mal peigné. » Créé évêque de Tours (372), c’est alors que Martin entreprend l’évangélisation des campagnes à dos d’âne ou à mulet, de village en village. Les routes de Touraine et du Berry le voient passer. Il pousse en Auvergne, en Saintonge ; il prêche dans la région parisienne comme dans la vallée du Rhône. Partout il remplace les temples païens par des églises et des oratoires. Il fonde le monastère de Marmoutier (Tours) sur la Loire, où il demeure avec quatre-vingts religieux.
« 375. [...] Martin arpente la Touraine, puis toute la Gaule. Il circule sans escorte, pauvrement vêtu, moine évêque à l’unisson de cette "révolution ascétique" qui soulève les élites la Gaule à l’instar de Sulpice Sévère et de Paulin de Nole.
« Martin s’aventure en des terres où le paganisme a le monopole.
« Il est un peu le missionnaire des territoires abandonnés de la ruralité. Pour commencer, il fiche par terre un temple païen en forme de pyramide à Amboise. Puis il fonde les paroisses de Langeais, Saunay, Chisseaux, Tournon, etc.
« Sulpice Sévère nous parle d’une mission en pays Eduen où Martin est menacé de mort par des paysans furieux. Martin témoigne, argumente et renverse la situation : "Quand les paysans cherchaient avec hostilité à la dissuader de détruire les sanctuaires, sa sainte prédication adoucissait si bien les païens qu’illuminés par la vérité, ils renversaient eux-mêmes leurs temples." » (Samuel Pruvot, Nos Ancêtres les Saints, Petite histoire de la France missionnaire, Cerf, Paris 2017, p. 34-35.)
La liturgie romaine appelle Martin « le merveilleux ressusciteur de trois morts ». Comme, en se rendant à Chartres, dit Sulpice Sévère, il traversait une bourgade païenne, touché par les larmes d’une pauvre mère qui lui présenta le corps inanimé de son petit enfant, il le ressuscita devant tout le village, qui se convertit.
Ce qu’il enseignait de vive voix, il le confirmait par des miracles sans nombre, et le persuadait par sa fidélité à le pratiquer le premier.
Chacun de ses pas était marqué par des prodiges et des conversions. Les idoles, les temples des faux dieux, les arbres objets des superstitions druidiques, disparurent dans le voisinage de Tours, à Ambroise, à Levroux, à Langeais, à Touron, à Candes. Un jour, étant dans un bourg rempli de païens il entreprit comme il avait fait ailleurs, de les convertir au vrai Dieu et de leur faire abandonner leurs vaines superstitions. Après les avoir exhortés assez longtemps, il leur dit d’abattre l’arbre qui était dans ce lieu et que le peuple regardait avec vénération. Les païens dirent à saint Martin : « Nous voulons bien le couper, pourvu que vous consentiez à rester dessous. » Il accepta la condition. On abattit l’arbre ; il penchait du côté de saint Martin, les païens le crurent déjà écrasé ; mais le saint ayant fait le signe de la croix, l’arbre se redressa, et tomba du côté des païens ; plusieurs auraient été tués s’ils n’eussent évité la mort par une prompte fuite. Dieu se servit de ce miracle pour amollir le coeur féroce des idolâtres et les porter à demander le baptême.
« Parcourant les villages depuis la région de Poitiers, il aurait extirpé les racines du paganisme en abattant idoles et arbres sacrés. ... Mais ces thèmes sont assez convenus au IVe siècle, comme le révèlent la mise en série des vies de saints et la comparaison de leurs données avec celle de l’archéologie. Si l’hagiographie chrétienne véhicule, de fait, un discours de violence contre les sanctuaires païens, celui-ci ne peut être que très rarement corrélé à un passage à l’acte. ... Les païens ne se convertissent pas sous la contrainte ; ils sont retournés par la pénitence, la prière et les miracles de Martin, qui apparaît davantage comme un thaumaturge bienfaisant que comme un destructeur », écrit l’historienne Marie-Françoise BASLEZ dans "Le Matin chrétien de la France." (Le Figaro Histoire, Les Racines chrétiennes de la France, octobre-novembre 2016, n° 28, p. 47.)
Quelques fois Martin sollicitait auprès des princes le pardon des criminels, la liberté des captifs, le retour des exilés ou le soulagement des personnes affligées.
« Saint Martin est le premier saint exorciste dont la vie est connue et largement diffusée au Moyen-Âge.
« Ces exorcismes (à Trèves en 386-388) sont un point de départ pour l’hagiographie médiévale qui, avec des variantes, compose et recompose le modèle. Il affronte le diable en ne craignant pas le contact physique, mais les adjurations et les menaces au démon sont limitées, les récits courts. Plus que la parole, c’est le geste que le saint oppose au démon. » (Jean-Baptiste Golfier, Tactiques du diable et délivrances, Artège-Lethielleux, 2018, p. 100.)
Saint Thomas rappelle la fausse apparition du diable à saint Martin, sous l’apparence du Christ. [...] Satan se transforme parfois de façon visible, comme devant le bienheureux Martin, afin de le tromper, et, de cette manière, il a trompé beaucoup de monde. [...] Mais un mauvais ange épouvante et vous laisse désolé. [...] Le diable, afin de tromper et de persuader, en pervertissant les pensées de l’homme, invite au péché et plonge [l’âme] dans le trouble, contrairement à un bon ange, au Christ ou à la Vierge, apparaissant pour la joie, la paix et le bien de l’âme.
L’épisode de saint Martin est rapporté par le biographe de l’apôtre des Gaules, Sulpice Sévère, qui diffuse son livre dès la mort du saint en 397 : le diable aurait pris l’apparence d’un Christ magnifique et triomphant et le saint évêque de Tours y aurait vu un manque d’humilité qui força le diable à se dévoiler. (Sulpice Sévère, Vie de Martin, trad. de Claude CHARLES, présentation de Christian PAGANO, introduction d’Elisabeth GERMAIN, Paris, Médiaspaul, 1996, p. 72, in Jean-Baptiste GOLFIER, Tactiques du diable et délivrances, Artège-Lethielleux, 2018, p. 425, note 25, et p. 443.)
Martin mourut le 8 novembre 397, dans une de ses paroisses à Candes, à l’âge de 81 ans. Ses funérailles furent l’occasion d’une cérémonie religieuse qui, tel l’adventus de l’empereur, accueillit avec majesté la sainte dépouille à Tours. Le culte qui allait assurer à cette cité le rang de capitale religieuse de la Gaule, puis des rois de France, fut aussitôt fondé. C’est un des patrons de la France. Sa châsse servit d’étendard à nos aïeux.
Son culte se répandit très vite au Ve et VIe siècles dans toute l’Europe. Charlemagne fit construire la Chapelle à Aix pour conserver l’autre pan du manteau de Saint Martin et les rois de France à partir du Xe siècle furent les abbés de la basilique tourangelle.
Daniel-Rops écrit qu’ "au temps des Mérovingiens, puis des premiers Capétiens, la cape rouge de Saint Martin (c’est pourquoi l’oriflamme des rois de France fut toujours rouge, jusqu’à la Révolution) sera portée en tête des armées et ce sera sur elle qu’on prêtera en temps de paix, les serments solennels."
Le vocable "chapelle vient de capella, diminutif du bas latin cappa, coiffure, chape ; il s’agissait selon la légende du manteau de S. Martin, conservé comme relique dans le trésor des rois de France depuis le VIIe siècle." (Jean CHELINI, Histoire religieuse de l’Occident médiéval, Pluriel, Millau 2012, p. 32-33.)
Cependant, "la capa de saint Martin [...] désigne non pas une partie du manteau de l’apôtre des Gaules, mais bien plutôt le drap qui recouvrait son tombeau à Tours. Cette ’chape’ fut vite considérée comme l’objet le plus précieux du trésor des rois mérovingiens, et l’on prit alors l’habitude de désigner les clercs qui en avaient la garde sous le nom de ’chapelain’ ou en parlant du groupes, de ’chapelle’, en attendant que ce terme en vînt à désigner à la fin du VIIIe siècle l’église édifiée par Charlemagne pour les accueillir dans son palais d’Aix." (Geneviève BÜHRER-THIERRY, Charles MERIAUX, La France avant la France 471-888, Gallimard, Folio Histoire, 2019, p. 187.)
Le culte de Martin est l’objet d’un pèlerinage parmi les plus anciens de la chrétienté avec Rome, Jérusalem ou Saint-Jacques-de-Compostelle. Les Capétiens revendiquaient sa moitié de "cape", symbole de charité. Charlemagne fit inhumer son épouse près du tombeau sacré.
"La période révolutionnaire provoque la destruction du sanctuaire et la disparition des reliques. Une rue et un immeuble le remplacent. Il faut attendre 1860 pour retrouver le tombeau de Martin grâce à l’action de Léon Papin-Dufour, avocat martiniquais." (Revue Codex, 2000 ans d’aventure chrétienne, Editions CLD, n° 1, Automne 2016, p. 94.)
485 bourgs ou villages portent encore son nom. Le vocable d’église S. Martin ou le nom de village Saint-Martin est le plus répandu en France.
L’armistice de 1918 sera signé un 11 novembre 1918 à 11 heures en la fête de Saint Martin, Apôtre des Gaules.
La ville de Tours a lancé le 11 novembre 2015 les fêtes du jubilé des 1700 ans de sa naissance.
La statue de bronze de Saint Martin sur le dôme de la basilique de Tours avait dû être déposée en urgence en février 2014 car elle menaçait de s’effondrer avec son socle et son bulbe. Elle a été replacée en octobre 2016, en partie redorée et surtout consolidée. L’opération, financée par les Affaires culturelles, la ville, le département et la région, a représenté un investissement de près de 2 millions d’euros. L’événement a coïncidé avec le 1700e anniversaire de Martin (316-397). (Chretiensaujourdhui.com)
Saint Martin est aussi le patron de Buenos Aires, Mayence, Utrecht, Rivière-au-Renard et Lucques, Martina Franca. »
"Saint Martin nous apprend que la France est un pays de mission. Chaque génération doit apporter sa pierre à l’édifice, faute de quoi le présent dévorera le passé. Si nous regardons en arrière avec nostalgie, laissant la France religieuse en jachère, elle reviendra à son état originel de superstition. Avec google et daech en plus. Nous deviendrons des statues de sel comme la femme de Loth dans le livre de la Genèse. Notre monde chrétien s’en va faute de conquérants.
"[...] Prions Saint Martin de ne pas connaître le sort des Égyptiens à force de regarder nos racines chrétiennes comme des hiéroglyphes. Le Dieu vivant n’a jamais été un objet de musée chez nous, contrairement à l’Union soviétique."(Samuel PRUVOT, Nos Ancêtres les Saints, Petite histoire de la France missionnaire, Cerf, Paris 2017, p. 38-39.)
Liens :
* Les Francs Arquebusiers, ambassadeurs de la Belgique, honorent leur saint patron à l’endroit même de son tombeau
* Saint Martin de Tours, site des Arquebusiers de Visé
* Colette BEAUNE, Naissance de la nation France, nrf Editions Gallimard, Mayenne 1985, p. 80-81, 173.
* Mgr Paul GUÉRIN, Vie des Saints pour tous les jours de l’année, Editions D.F.T., Argentré-du-Plessis 2003, p. 699-700.
* L’Histoire de France racontée par les contemporains, Extraits des chroniques, des mémoires et des documents originaux, L. DUSSIEUX, Firmin Didiot Frères, Fils et Cie Libraires, tome premier, Paris 1861, p. 192-195.
* DANIEL-ROPS, Histoire de l’Église du Christ, tome II Les Apôtres et les Martyrs, Librairie Arthème Fayard, Paris 1965, p. 409-413
* Christine DELAPLACE, Jérôme FRANCE, Histoire des Gaules, VIe s. av. J.-C. - VI. ap. J.-C., 5e édition Armand Collin, Domont 2016, p. 241
* Samuel PRUVOT, Nos Ancêtres les Saints, Petite histoire de la France missionnaire, Cerf, Paris 2017, p. 25-39.
Site source :