Faire mieux connaître l’action de la divine Providence et de la Vierge Marie dans l’histoire
Avec d’autres auteurs catholiques, Guy Barrey présentera Marie dans la mission de Jeanne d’Arc et Publie ma gloire, paroles de la Vierge Marie :
au Salon des écrivains catholiques, Mairie du 6e arrt (78 rue Bonaparte, Paris 6e), le samedi 4 décembre après-midi (14h30-17h30)
– à la 29e Fête du livre de Renaissance catholique (Grand’Maisons, Villepreux, 78) le Dimanche 5 décembre 2021
Avant-propos du Professeur Jean Barbey
Préface de Mgr Luc Crepy, évêque du Puy-en-Velay
Cet ouvrage aborde un moment privilégié de l’histoire du « saint royaume » ainsi que Jeanne d’Arc nommait la France. Nourri par les travaux des plus grands historiens, chrétiens, agnostiques, hommes d’Eglise et témoins contemporains de Jeanne d’Arc, il exploite des archives parfois inédites, et démontre que Jeanne ne fut pas seulement une héroïne exceptionnelle mais l’envoyée du Ciel pour rétablir le « saint royaume de France », Jeanne étant sainte et toute configurée à Jésus-Christ et à la Vierge Marie.
La divine mission de Jeanne va au-delà de la délivrance de la ville d’Orléans et du sacre du dauphin Charles VII à Reims, et a pour objectifs le rétablissement de la royauté sacrée en France, une paix juste et durable, comprenant la libération de tout le territoire national, l’élargissement du duc d’Orléans alors prisonnier à Londres et la consolidation de la Chrétienté. Jeanne, à la suite de la Vierge Marie, s’est faite ainsi l’humble servante de la divine Volonté.
La mission de Jeanne la Pucelle, comme celle de la Vierge Marie, n’est pas achevée, et l’auteur montre en quoi elle demeure un exemple de conduite de vie intérieure et d’action, au service de la France et de son roi, fils aîné de l’Église.
Valeurs actuelles, 18 mars 2021
« La fille la plus sainte après la sainte Vierge », selon Péguy, avant d’être l’héroïne nationale que reconnaît la République, est une sainte, « configurée à la vierge Marie » et par là au Christ, son héroïsme n’étant que l’expression de sa sainteté. C’est cette configuration mariale – et de ce fait christique - que l’auteur met en lumière tout au long de l’épopée de Jeanne qu’il suit pas à pas, en lui donnant une amplification liturgique et historique qui nourrit la méditation du lecteur.
Philippe Barthelet
Tu es Petrus, n°XXX, printemps 2021
Parmi les quelques livres parus pour le centenaire de la canonisation de sainte Jeanne d’Arc, celui de Guy Barrey est incontestablement le seul qui apporte un peu d’air frais autant que de profondes réflexions sur un sujet que la plupart des auteurs peinent à approfondir, ressassant les mêmes lieux communs ou énonçant des hypothèses toujours plus farfelues. Ici, un retour aux fondamentaux est bienvenu : Marie occupe une place de choix dans la spiritualité de Jeanne, à telle point qu’elle fera marquer son nom en lettres d’or sur son étendard, aux côtés de son fils Jésus, le Christ-Roi. Reprenant un sujet qu’il connaît bien (Cf. Pèlerinages de France et Publie ma gloire ! aux mêmes éditions), l’auteur évoque des Vierges de Bermont, de Vaucouleurs, du Puy, d’Orléans ou de Reims, qui jalonneront la route de la mission de la sainte envoyée de Dieu, au pays de France où Marie est toujours reine, et où Jésus veut que Sa Volonté s’accomplisse, aujourd’hui comme hier.
Abbé Jacques Olivier
Préface de Mgr Dominique Rey
Ce livre a pour auteur premier la Vierge Marie elle-même puisque ce sont ses Paroles, depuis le jour béni de l’Annonciation jusqu’à nos jours, qui y sont reproduites. Le lecteur y trouvera également des Paroles de Jésus-Christ Lui-même, puisque là où est la Sainte Vierge se trouve toujours aussi Jésus, son divin Fils.
Sont ici retracées les Paroles de la Mère de Dieu en ses apparitions dont l’authenticité a été, à ce jour, officiellement reconnue par l’Église ; une exception est faite, s’agissant de la France, en tant que Fille aînée de l’Église, puisque sont aussi abordées les apparitions mariales qui donnent lieu à des pèlerinages reconnus et généralement encouragés par l’Église.
Ce livre, qui, comme les Paroles de la Vierge Marie, s’adresse à tous, chrétiens ou non, revêt ainsi une importance toute particulière en ce qu’il regroupe les principales Paroles de notre Mère du Ciel, et qu’il contient tout un enseignement afin de nous sauver de l’esclavage du péché et de l’emprise du mal. Des demandes de la Mère de Dieu, pressantes en ces derniers temps, y sont relevées. Toutes témoignent de manière poignante de l’amour de Dieu et de la Vierge Marie pour tous les hommes et de leur infinie miséricorde en vue de sauver les âmes et assurer sur terre une paix véritable.
« Publie ma gloire » : ces paroles de la Très Sainte Vierge Marie à Pellevoisin résonnent comme un appel lancé à chacun de nous en vue de contribuer à mieux faire connaître notre Mère du Ciel, Elle dont toute la gloire est précisément de nous conduire à son divin Fils.
« Je vous le redis : écoutez ma parole et faites-la connaître parce qu’elle renferme un important enseignement. » (Notre-Dame du Rosaire à San Nicolas (Argentine), 8 juin 1985)
Guy BARREY est diplômé de l’IEP de Paris et diplômé d’études supérieures de droit public. Il a été magistrat de chambre régionale des comptes, de 1991 à 2004, inspecteur général du tourisme, de 2004 à 2008, et inspecteur général à l’administration du développement durable, de 2009 à 2016. Co-auteur de l’ouvrage Acteurs et organisations du tourisme, aux éditions De Boeck, 2012, Auteur de Pèlerinages de France, avec une préface du Cardinal Sarah, directeur du site internet http://pelerinagesdefrance.fr, membre de la Société Saint Vincent de Paul et délégué pour l’Eure-et-Loir de l’association Lourdes cancer Espérance.
Michel CORTEVILLE est prêtre et spécialiste des apparitions de La Salette. Il a publié avec Mgr René Laurentin Découverte du secret de La Salette en 2002.
Famille Chrétienne, n°2156, semaine du 11 au 17 mai 2019
« Publie ma gloire ! », avait demandé la sainte Vierge à Estelle Faguette. En écho à cet appel lancé à Pellevoisin en 1876, Guy Barray (auteur de l’excellent Pèlerinages de France, Via Romana, 2017) a méticuleusement réuni dans un même ouvrage tous les messages adressés au monde par la Vierge Marie, depuis son Fiat aux paroles prononcées à chacune de ses apparitions (celles que l’Église a reconnues). Chaque message est replacé dans son contexte historique, puis commenté par des saints, des papes ou des spécialistes. Par ses paroles, nous dit l’auteur, la Vierge Marie nous transmet la pensée et la volonté de Dieu, elle nous permet de mieux conformer nos vies à ce qu’en attend le Créateur. Autant dire : un livre indispensable.
Élisabeth Caillemer
La Nef, n°323, mars 2020
Un travail de bénédictin qui rassemble les messages de Marie lors de ses apparitions (reconnues).
Patrick Kervinec
Una Voce, n°323, septembre-octobre 2019
La Vierge Marie semble bien avoir été le personnage le plus discret de l’Écriture. Les Évangiles ne nous offrent que quelques phrases et encore bien courtes : "Fiat en réponse au souhait de l’Ange Gabriel après lui avoir demandé Comment cela se fera-t-il puisque je ne connais point d’homme ?, un mot de reproche à Jésus quand il avait abandonné la cohorte des pèlerins quittant Jérusalem et qu’il s’entretenait avec les docteurs, puis aux noces de Cana ces quelques mots : Ils n’ont plus de vin et faites ce qu’il nous dira !
Mais au cours de ses apparitions, depuis son Assomption, la Vierge a enseigné les voyants et répondu aux questions qu’ils lui posaient. Certes on pourrait souvent résumer ses paroles en deux mots : prière et pénitence, mais les nécessités de la pédagogie, le souci de se faire bien comprendre ont amené la Mère de Jésus-Christ, la Mère de l’Église, à user de plus de mots. Guy Barrey recense une bonne trentaine d’apparitions de la Vierge. Pour chacune, nous avons les dates, la qualité des voyants et la teneur du message. Naturellement La Salette, Lourdes, Pontmain et la rue du Bac y figurent tout comme Fatima et, au Mexique, Guadalupe. Elles sont classées dans l’ordre chronologique. C’est à Pellevoisin que Marie, dans la première de ses 9 apparitions à Estelle, 14 ans, très malade en I876, a dit à l’adolescente : Courage, prends patience ; mon Fils va se laisser toucher. Tu souffriras encore cinq jours, en l’honneur des cinq plaies de mon fils. Samedi, tu seras morte ou guérie. Si mon Fils te rend la vie, je veux gue tu publies ma gloire. D’où le titre de cet imposant volume.
Mgr Dominique Rey, dans sa préface, indique que la gloire est quelque chose de plus grand que toutes les vertus et les qualités de la Vierge. Ce quelque chose que Marie considère comme son titre principal de gloire, c’est davantage quelqu’un, à savoir Jésus-Christ, Seigneur. Le Fils de Dieu est lui-même la Gloire de Marie. C’est de Lui que découlent toutes les vertus dont Marie nous illumine. En publiant donc la gloire de Marie nous ne publions personne d’autre que Jésus son Fils. Et l’évêque de Fréjus-Toulon avoue qu’il a été particulièrement sensible aux pages consacrées à Cotignac, le pèlerinage situé dans son propre diocèse : à Cotignac, écrit-il, c’est la Sainte Famille de Nazareth qui rayonne sur toutes nos familles. (...) À l’heure où notre société dédaigne, voire méprise Ia famille, je crois que le silence et l’amour de Ia Sainte Famille seront d’une grande aide pour les foyers chrétiens…
Avec Guy Barrey nous connaissons mieux ou découvrons les apparitions de la Vierge en France : Tilly-sur-Seulles, Notre Dame de l’Osier (1649) à Vinay (Isère), Querrien (Finistère, 1652) ; en Belgique, Beauraing (1932) et Banneux (1933) ; aux Pays-Bas, à Amsterdam (1945 -1954), la Vierge a délivré, pendant dix ans, 56 messages. Là, à une jeune femme nommée Ida Peerdeman, elle a lancé, sous le nom de La Dame de tous les peuples, une longue suite d’appels accompagnés de scènes qui impressionnaient vivement la voyante. Un jour, elle voit une théorie de membres du clergé, d’étudiants, de religieuses et dit deux fois avec une infinie tristesse : C’est très grave car ils ne sont bons à rien et, les désignant avec sévérité, elle affirme avec autorité : Une meilleure formation, vivre la mission de l’Eglise dans l’économie du avec son temps, être plus moderne, faire plus de social ; Ida voit le Christ seul marcher avec la croix et la Dame de dire : Seul, Il marche seul en ce monde. Cela va encore empirer jusqu’à ce que quelque chose de grave se produise et que la croix se dresse au milieu du monde, ils seront alors bien obligés de regarder, qu’ils le veuillent ou non. La Dame invite à prier le chapelet. Le 29 mars 1946, elle déclare au cours d’une vision du monde : Cela c’est le monde futur ; il est très dur. Le monde va s’autodétruire. Le 7 février 1946, elle répète : Fais attention Europe !, de nouvelles calamités vont s’abattre sur le monde. La Vierge parle ensuite de l’Orient, le 10 décembre 1950, et déplore que ses peuples aient été réveillés par an type d’humanité gui ne croit pas au Fils. Et d’évoquer aussi le féminisme. Pleine de pitié et comme si elle s’adressait directement aux femmes : Savez-vous encore quelle est votre tâche ? Ecoutez bien : tant vaut la femme, tant vaut l’homme ! Vous, femmes, donnez I l’exemple. Retournez à la femme en nous.
Avec la Mère de tous les peuples, nous voyageons aussi beaucoup car le souci de Marie de faire reconnaître son Fils, le Sauveur, par le monde entier l’amène à faire de la géopolitique. Nous la retrouvons en Égypte en 1968 et 1969, au Japon en 1973, au Venezuela en 1976, au Rwanda de 1981 à t989 et en Argentine de 1983 à 1990.
Cette sollicitude de la Vierge Marie est ponctuée d’appels à la conversion à la vraie foi, à la prière, à la pénitence et à la pratique du sacrement de pénitence, au respect du dimanche, à sanctifier le jour du Seigneur et à recourir au sacrement de l’Eucharistie, à la consécration au Cœur immaculé de Marie, au port du scapulaire et de la médaille de la rue du Bac. Certains messages invitent à la construction d’une chapelle ou d’un lieu de culte qui deviendra un pèlerinage. D’autres messages sont prophétiques comme ceux de La Salette, Fatima et Amsterdam, d’autres relatifs au Salut. Co-rédemptrice, Marie s’ingénie à nous faire comprendre que le Christ nous aime et que la seule vraie religion, la religion catholique, n’est au fond qu’une histoire d’amour de Dieu pour les hommes, d’un Dieu qui n’est guère paye en retour. Les hommes sont toujours attirés par le veau d’or. D’un orgueil démesuré, ils se prennent facilement pour des dieux. On voit les résultats... et la Dame de tous les peuples ne cesse de nous mettre en garde. Elle retient toujours le bras divin qui pourrait se laisser gagner par la lassitude. Un ouvrage passionnant !
Jacques Dhaussy
Guy Barrey sera présent :
au Salon des écrivains catholiques, Mairie du 6e arrt (78 rue Bonaparte, Paris 6e), le samedi 4 décembre APRES-MIDI (14h30-17h30)
– à la 29e Fête du livre de Renaissance catholique (Grand’Maisons, Villepreux, 78) le Dimanche 5 décembre 2021