A Rome, cité du Siège de Pierre, les crèches devraient porter à la piété, au recueillement, à la prière, à l’émerveillement spirituel

mardi 4 janvier 2022
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A Rome, cité du Siège de Pierre, les crèches devraient porter à la piété, au recueillement, à la prière, à l’émerveillement spirituel




« Je suis le Seigneur et voici ce que Je pense de la crèche de la Place Saint-Pierre à Rome.

La Nativité fut un temps spécial de grâces pour l’humanité, ce fut la naissance du Sauveur, Dieu, venu sur la terre pour sauver l’humanité : si on Le représente comme un fait touristique, alors, oui, faisons du tourisme et allons en Amérique du Sud.

Si on veut prier, alors représentons-Le tel qu’Il fut : né dans une crèche en Israël, à Bethléem, tel que les prophéties L’avaient annoncé. Soyons réalistes, soyons pieux et honorons la réalité.

Je suis le Seigneur et Je ne suis pas un mythe. Je suis bien réel et J’appelle à Moi réellement tous les hommes. Je n’appelle pas ceux qui Me rejettent, Je les appelle à la conversion, oui, mais ce n’est pas folklorique ; et s’ils ne veulent pas de Moi, Je vais Mon chemin.

Mes enfants, la religion catholique n’est pas du tourisme, ce n’est pas du folklore, ce n’est pas une histoire dont on rappelle le souvenir. C’est actuel, c’est votre réalité présente, c’est votre réalité à laquelle vous devez vous accrocher, ce n’est ni un amusement ni un conte.

A Rome, cité du Siège de Pierre, les crèches devraient porter à la piété, au recueillement, à la prière, à l’émerveillement spirituel. Rome est le Siège du Vicaire du Christ, de celui qui représente Jésus-Christ, or Jésus-Christ est venu pour vous sauver, pas pour vous faire voyager dans les différentes contrées terrestres.

Rome est en quelque sorte la Cité de Dieu, et les hommes qui vont en ce Cœur terrestre de Dieu doivent Le trouver, Lui, rien que Lui, et tout doit y porter Sa marque, Son tampon, Son cachet qui est avant toute chose la piété, la révérence, l’admiration de l’âme pour la Grandeur de Dieu, pour Son Humilité en choisissant de venir parmi la petitesse des hommes.

La crèche, c’est la Venue du Messie pour chacun de vous, c’est cela que toute crèche doit s’efforcer de magnifier. Je ne suis pas venu sur la lune, les costumes de cosmonautes ne sont pas convenables pour Dieu comme le fut la crèche romaine en 2020, qui fut d’ailleurs peu appréciée des fidèles visiteurs. Je ne suis pas né non plus au Pérou, comme le laisse croire la crèche de cette année 2021, Je ne suis pas un touriste et Ma mort sur la Croix ne fut pas non plus un gadget.

Que les hommes de la religion catholique se reprennent et redeviennent pieux et dignes, et réalistes !

Je tiens à ce que ces réflexions divines au sujet des représentations que l’on fait de Moi, soient publiées car Je suis Dieu et Je n’apprécie pas que l’on dénature Mon Histoire auprès des hommes. Je suis né à Bethléem, J’ai enseigné dans Ma Judée natale et dans les provinces avoisinantes, Je suis mort en laissant à Mon Eglise le devoir de reprendre Mon flambeau et d’instruire les peuples et ceux, parmi eux, qui voudront M’entendre. Je leur donne le fruit de Ma Passion et de Ma Croix, Mon Corps, Mon Sang et tous les sacrements, et la Sainte Eglise en ses représentants se doit de M’honorer, de Me respecter, de ne pas jouer avec l’imaginaire, d’être droite et de Me faire respecter et aimer.

Je vous bénis, Mes enfants, et comprenez la nécessité du sérieux, du réalisme, de la piété. »

SOURCE :

srbeghe

Admin Sam 25 Déc 2021 - 15:30
APRÈS LA CRÈCHE ÉSOTÉRIQUE, LA CRÈCHE PACHAMAMIQUE ?

par Francesca de Villasmundo
13 décembre 2021

La fameuse crèche de Noël inaugurée sur la place vaticane le 10 décembre 2021 vient du Pérou et a été réalisée par la communauté Chopcca dans les Andes. Elle représente des personnages et traditions locales.

Vatican News explique :

« La crèche qui sera installée pour Noël vient du village de Chopcca dans les Andes. Il sera composé de plus de 30 pièces et créé par cinq artistes célèbres de Huancavelica … »

Un journaliste italien a fait des recherches sur la relation entre cette communauté Chopcca et le culte de Pachamama. A la page 198 du volume Los Chopcca de Huancavelica, publié par le Ministère de la Culture du Pérou, on peut lire :

« Malgré l’intense travail pastoral des deux doctrines chrétiennes – catholique et évangélique – les pratiques du rituel préchrétien quechua n’ont pas été éradiquées. Dépendante des forces de la nature, la conception du monde présidée par Apus ou Wamanis, esprits qui vivent sur les collines, et par la Pachamama, entités qui sont explicitement mentionnées dans leurs rituels, persistent parmi les villageois. L’Apus major de la région, Qaparina et Cobremina, sont les plus hautes collines de la région, auxquelles un hommage est rendu par des cérémonies et des rites lors des fêtes du cycle de production. A herranza ou Santiago, on pratique le pagapu, un rituel au cours duquel des offrandes sont faites au dieu Apu ou à Pachamama pour la protection de leurs animaux. Des rituels similaires sont effectués lors de la plantation, de la récolte et d’autres activités qui nécessitent l’aide et la protection des divinités andines. Il est remarquable que les principales victimes culturelles de la prédication évangélique (c-à-d protestante) n’ont pas été les célébrations du cycle de production, où une grande partie de la vision andine du monde est réfutée par le catholicisme depuis l’époque coloniale, mais précisément les fêtes religieuses catholiques ».

Il faut en effet rappeler que dans ces villages des Andes le phénomène d’« inculturation » s’intensifie, et derrière la représentation de la Vierge Marie, le véritable culte de la Pachamama perdure. « Les fréquentes associations entre Pachamama et Maria reposent sur la figure d’une ‘’mère généreuse ‘’ et protectrice des femmes enceintes, mais pour Marie, les attitudes pour protéger les plantes et les cultures sont assez lointaines et peu documentées » explique l’anthropologue Antonino Colajanni qui ajoute :

« Les indigènes andins ont une attitude de révérence, d’admiration, d’affection filiale et de dévotion envers elle. La prédication chrétienne dans les Andes a eu des résultats mitigés : la coexistence entre Marie et Pachamama est un exemple de syncrétisme très intense. »

Affirmation confirmée par l’historien bolivien Damiàn Galeron :

« La Pachamama était le culte fondamental de la religion des Andes à l’époque précolombienne, mais il perdure encore aujourd’hui »

Après l’horrible crèche en céramique conciliaire ésotérique-maçonnique de Castelli de l’an dernier avec le guerrier à cornes avec un crâne sur le front, imbroglio de Star Trek et de jeu de quilles, ce nouveau choix bergoglien, sans conteste de bien meilleur goût, interroge. S’inscrit-il dans l’axe idéologique du Synode sur l’Amazonie et le syncrétisme qui y fut exalté ? Serait-ce un relent du culte de la déesse païenne de la fertilité Pachamama qui fit un petit tour par les jardins du Vatican ? Un hommage détourné « à la dernière population au monde qui tient bec et ongles ce culte païen sanglant auquel sont sacrifiés des bébés lamas et, dit-on, jadis, aussi des sacrifices humains. En effet, sur une vingtaine d’animaux présents, il y a au moins huit lamas en procession » ?

Avec François, tout ce qui est apostat étant possible, il se pourrait qu’un peu de tout cela ait motivé son choix…

SOURCE :

medias presse info