Un État et une justice qui ne protègent plus, avec l’aveuglement du gouvernement, face à l’ensauvagement de la société qui s’exprime quotidiennement sur notre sol
« Réaction de Marion Maréchal à la polémique montée de toutes pièces contre Eric Zemmour. Les journalistes avaient décidé à l’avance qu’il fallait absolument occulter l’énorme succès populaire de ce meeting :
Depuis hier, nous assistons à une déplorable petite musique médiatique autour du « Macron assassin » entendu à l’occasion du meeting d’Eric Zemmour.
Ce qui n’aurait dû être qu’une information accessoire est montée en épingle de toute pièce pour transformer ce sujet en « polémique » de campagne. Comment ne pas voir comme partial et partiel le fait de réduire ce grand événement à dix secondes d’un « slogan » lancé par une partie de la foule (et non par l’orateur lui-même) sur trois heures de discours ? Le seul véritable fait politique était la tenue du plus grand meeting de la campagne autour d’un candidat qui a réussi l’exploit de réunir près de 100 000 personnes. Nous aurions donc pu légitimement attendre de la part des journalistes une analyse de ce succès et du contenu des discours, en particulier celui d’Éric Zemmour. Un discours très dense dans lequel il a parlé sans détour de sa vision de la France, de l’État, de l’assimilation et de l’avenir.
Au lieu de cela, un certain nombre de journaliste semblent plus préoccupés par le fait d’obtenir la « condamnation » et la « contrition » des responsables politiques de Reconquête ! qui n’y sont pourtant strictement pour rien. Certains journalistes ont manifestement raté leur vocation de curé ou de procureur.
J’ajouterai que l’on aurait pu attendre un tel émoi de la part de Madame Pécresse lorsque son soutien Jean-Christophe Lagarde parlait de « balle dans la tête d’Éric Zemmour » ou encore le même entrain de la classe politique à condamner les multiples attaques verbales et physiques subies par des militants RN et Reconquête ! ces dernières semaines dans l’indifférence générale. Il ne s’agissait pas en l’état de violence « symbolique » mais d’agressions bien réelles avec des militants aspergés d’essence, frappés à coups de couteau ou de matraque.
J’irai même plus loin et j’inviterais les journalistes à essayer de comprendre le fond de la colère qui pousse une foule pacifique à scander ce type de phrase. Bien que le contenu soit évidemment déplacé et critiquable, les personnes réagissaient alors à la liste de crimes énoncés par Éric Zemmour qui ont abouti au massacre de Français innocents, tués par la racaille ou le jihadisme sur notre sol. C’est la colère des dizaines de milliers de familles, de pères et de mères qui s’est alors exprimée devant un État et une justice qui ne les protègent plus, devant l’aveuglement du gouvernement, face à l’ensauvagement de la société qui s’exprime quotidiennement sur notre sol.
Je considère qu’un tel traitement médiatiquement est révélateur de l’inquiétude que suscite Éric Zemmour dans sa capacité à perturber un scénario électoral bien huilé. Les Français ont été les témoins de ces méthodes injustes durant des décennies, je suis convaincue qu’ils n’en sont plus dupes »
Site source :
Evelyne témoigne après l’assassinat de son fils, tué de 22 coups de couteau par un terroriste islamique, migrant soudanais, lors de l’attentat de Romans-sur-Isère. Elle appelle les Français à voter pour Eric Zemmour. Cette vidéo a été diffusée au rassemblement du Trocadéro, le dimanche 27 mars 2022.
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